Ophélia de Rimbaud

« Ophélia » A. Rimbaud

INTRODUCTION :

Arthur Rimbaud est un poète symboliste né en 1854 et mort en 1891 . rès tôt, il cherche à faire publier ses poèmes, c’est donc en 1870 qu’il publia « les cahier de Douai », recueil de poèmes dont il sera inspiré par les parnassiens puisqu’il aimerait en faire partie, il a nottament de nombreuses influences comme victor Hugo, Charles Baudelaire ainsi que Paul Verlaine. Nous analyserons don « Ophélia » poème du recueil « les cahiers de Douai »

PBLQ : Comment la figure d’Ophélie est-elle ici représentée ?

DEVELOPPEMENT :

I. Un personnage féerique…

A. l’intégration à la nature

B. Un esprit qui reste

II. …Et stéréotypée

A. Une femme brisée et morte par amour

B. Le lien entre la Ophélie de Rimbaud et la Ophélie de Shakespeare dans Hamlet

I. Un personnage féerique…

A.  L'intégration à la nature

La comparaison « comme un grand lys » vers 2 et 40 semble déjà mettre Ophélie dans un décor naturel / Personnification des éléments de la nature : « les nénuphars froissés soupirent » vers 13, « plaintes des arbres et soupirs des nuits » vers 24 / Nature mise en val par la majuscule « N » v27 : impression de prière, nat = religion pr rimbaud / éléments personif prennent vie c pour assister et participer à la scène de son apparition : « Ses grands voiles bercés mollement par les eaux » vers 10 ; « les saules frissonnants pleurent sur son épaule » vers 11 : la nature semble éprise d’elle.

B. Une âme errante

« Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles/ La blanche Ophélia flotte… » vers 1-2, Ophélie= Personne ? apparition ? signifie egalmt la mort /Ce questionnement disparait au vers 6 : « Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir » « belle comme la neige » v17 blanche= couleur symbolique de la mort /. Egalement l’anaphore « Voici plus de mille ans » vers 5 et 7 nous confirme ce fait et ce renforcement de légende / De +, on observe une répétition de  « blanche » à la seconde et dernière ligne 1 fois pour ouvrir le poème, l’autre pour le clore.

II. …et stéréotypée

A. Une femme brisée et morte par amour

    La nature semble soumise à un instinct maternel : « sur son grand front rêveur s’inclinent les roseaux » vers 12, comme si qu’Ophélie était fragile et souffrante. Egalement, on note une douceur permanente tout au  long du poème exprimée notamment par une allitération en [s] et [f] mais aussi par des expressions telles que « flotte très lentement, couchée en ses longs voiles » vers 3 :

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