Montaigne, Essais, Livre I chapitre XXV, « de l’institution des enfants »

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étude linéaire

         Nous allons étudiés une partie le texte de Montaigne, Essais, Livre I chapitre XXV, « de l’institution des enfants » .Montaigne est un auteurs très populaire du XVIe siècle, il rédige « De l’institution des enfants » à destination de Mme de Foix qui attend un enfant et à laquelle l’auteur propose ses principes éducatifs. .L’extrait étudié ici commence a « ce n’ est pas une âme » et fini à « qui leurs sont nuisible ».

          Pour commencer dans le premier paragraphe Montaigne reprend une citation de Platon qui dit qu’il ne faut pas former l’un sans l’autre mais les conduire au même pas et il fait une comparaison avec un couple de chevaux attelées au même timon ce qui donne une idée claire de ce que pense Montaigne. Ensuite on peut voir de la ligne 5 à 6 que Montaigne utilise une question rhétorique ce qui permet d’interroger le spectateur et le faire « participer » a ce débat . On relève aussi dans tout le paragraphe le champ lexicale de l’esprit et du corps de l’enfant et futur Homme.

           Par la suite on relèvera, dans le paragraphe 2 a la ligne 7 de l’extrait étudié, une oxymore très inintéressante, « douce sévérité », qui donne un équilibre difficile a trouvé . En continuant de lire le texte on aperçoit que Montaigne utilise des mots forts et s’exclame fort grâce aux mots « supprimez la violence et la force » ou encore « rabaisse et abrutisse » ce qui montre ça colère envers une mauvaise éducation. Dans la totalité du deuxième paragraphe l’auteur nous donne son avis sur le sujet et fait «  une liste d’étape importante a suivre » pour l’éducation selon lui la plus parfaite pour en enfant. A la ligne 12 on peut admirer le champ lexicale du temps ou de la météo, pour Montaigne on doit endurcir l’enfant a supporter la sueur et le froid, le vent et le soleil, et a mépriser le danger.

Pour conclure, dans ce paragraphe l’auteur nous fait part de sa colère grâce a la force des mots employés et de la ponctuation et il nous exprime les choses a faire ou a ne pas faire pour réussir l’éducation d’un enfant et il nous dit qu’il a toujours été de cet avis (ligne 15) ensuite dans la fin du paragraphe Montaigne et déçu de la façon dont on s’y prend dans la plupart des écoles il dit « ont eût causé moins de dommages en faisant preuve de plus d’indulgence car ce sont là de vraies geôles pour une jeunesse captive » on ressent la déception de l’auteur dans ces mots.

             Pour finir d’analysé cet extrait de texte nous allons nous occupés du troisième paragraphe  l’auteur nous parle principalement des violences physiques en vers les enfants a l’école et au travail.

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