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Les liaisons dangereuses / Pierre Choderlos de Laclos

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Par   •  21 Février 2022  •  Commentaire de texte  •  1 062 Mots (5 Pages)  •  505 Vues

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Granes Benjamin

Commentaire littéraire

 Les liaisons dangereuses est un œuvre paru en 1782 écrit par Pierre Choderlos de Laclos, un officier durant la révolution française qui écrivais beaucoup, il est né en 1741 et mort en 1803. Cette œuvre est un roman épistolaire qui est composée de 175 lettres, divisées en 4 parties. Le livre traduit les tensions qui parcourent le XVIIIe siècle représenté par le courant libertin. Le roman est centré sur deux personnages libertins ; la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, deux anciens amants manipulateurs.

Ici, nous étudierons un extrait de la lettre 152 dans la quatrième partie de cette œuvre. Dans cet extrait la marquise de Merteuil répond à son ancien amant, le libertin vicomte de Valmont.

        Dans cette étude nous allons nous demander en quoi la marquise de Merteuil est une femme libre et dominatrice.

Pour ce faire nous étudierons dans un premier temps en quoi madame de Merteuil est un personnage sûre d’elle et émancipé de la figure masculine.        Dans un second temps nous allons démontrer l’emprise que la marquise a sur le vicomte.

        

        

        Nous pouvons constater que le protagoniste ici est sure d’elle. On peut le voir par la ponctuation qu’elle utilise,on peut voir qu’elle utilise beaucoup de points d’exclamation (lignes 8 ;9 ;10 ;15 ;16 ;20 ;25 ;41) la marquise affirme son avis avec conviction.

On peut aussi le voir avec ces phrases « ce n’est assurément pas faute d’avoir trouvé assez de partis avantageux » (l.2), « ce n’est même pas que j’aie craint de ne plus faire mes volontés car j’aurais bien toujours fini par la » (l.4,5) ces deux phrases demontre que madame de merteuil est sûre de plaire beaucoup mais ne veut pas s’engager par choix car elle est libertine de plus meme si elle aurait pris parti avec un homme et l’aurais trompé par soif de plaisir.

 On peut aussi souligner ces deux phrases ; « a la bonne heure », « Dans le premire cas, votre lettre est injuste ; dans le second cas elle est ridicule ». Ces phrases nous montre qu’elle pense avoir raison et qu’elle irait jusqu’à retourner la situation en reprochant au vicomte de lui avoir écrit une lettre au part avant.

        Ensuite nous pouvons aussi constater qu’elle refuse catégoriquement toute domination masculine et notament le mariage, elle utilise d’ailleur des questions rhétoriques ; « pourquoi je ne me suis jamais remariée ? […] pour que personne n’ait le droit de retrouver à redire à mes actions » (l.1/3) cette femme du XVIII° siècle a un comportement très avant-gardiste pour son epoque. Ce qui l’aurait « gêné » (l.5) c’est, dit-elle « que quelqu’un eu seulement le droit de s’en plaindre ». La marquise voulait une liberté absolue. Par la suite on peut voir dans la phrase « Et voilà que vous m’écrivez la lettre le plus maritale qu’il soit possible de voir ! », une hyperbole ce qui insiste sur le fait que la marquise ne veut absolument pas d’une relation qui s’apparente à des mariées.                                                                                     Enfin elle réutilise une question rhétorique « mais comment donc peut-on manquer à celui à qui on ne doit rien ? » (l.10) ici, elle affirme son desire d’etre seul maitre de sa vie.

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