Les écrits d’imagination sont-ils les meilleurs moyen pour inviter le lecteur à réfléchir sur la société ?

Rémy                                                                                         1G8

Rayane                                                                                16/10/19

        Les écrits d’imagination sont-ils les meilleurs moyen pour inviter le lecteur à réfléchir sur la société ?

        Les écrits d’imagination sont tendances à de nombreux débats qui opposent différents raisonnement et façon de penser. A première vue, laisser courir l’imagination ne peut-être que profitable à l’individu, en entrant dans un monde qu’il s’est lui même crée. Mais cette imagination nécessite une certaine méfiance. Donc dans un premier temps nous allons voir comment l’imagination peut parfois être un bon moyen de réfléchir sur soi et sa société.

Mais nous allons voir ensuite l’argument contraire qui considère l’argumentation directe comme plus efficace.

        Pour commencer, nous allons nous concentrer sur les trois grands avantages de l’imagination. Notamment à travers des exemples de comptes et de fables. Les arguments que nous allons étudier sont donc l’imagination permet aux lecteur de s’immerger dans les récits afin de mieux comprendre grâce aux personnages ; l’imagination permet de contourner la censure ; et pour finir elle permet de toucher un public plus large.

        Tout d’abord, nous allons voir le premier argument qui affirme l’utilité de l’imagination et qui est : l’imagination permet de s’immerger dans les récits afin de mieux comprendre grâce aux personnages . Lors de la lecture d’un roman, d’une fable ou même d’un texte théâtrale, les personnages ont un rôle très important dans l’accrochage à la lecture. Si les personnages représentent des personnes normal sans caractéristiques imaginaires juste des personnes comme vous et moi. Alors on peut trouver ça vite ennuyant et ne pas accrocher aux personnages empêche une lecture agréable et crée un sentiment d’ennuis tout au long de l’œuvre.  On peut citer l’exemple du petit chaperon rouge qui est un conte imaginaire avec des personnages imaginaires mais qui au final sert à faire passer un message profond. Ici, un loup qui parle sert dans cette œuvre à prendre la place des personnes avec de mauvaise intention envers les jeunes filles et donc ce conte est en quelque sorte une prévention qui nous met en garde sur le fait de ne pas parler aux inconnus et surtout de ne pas les suivre.

        Ensuite, le second argument que nous allons étudier est : l’imagination permet de contourner la censure. Certains propos tenu par les auteur de cette époque peuvent être susceptible d’être censuré . C’est donc pourquoi certains font le choix de l’imagination pour la contourner au mieux et pouvoir publier leurs textes sans rencontrer de problèmes. Dans ce cas la, La Fontaine en est un parfait exemple avec sa fable «La cour du lion». Dans cette fable, Il critique la cour et surtout Louis 14. Louis 14 est représenté par le lion qui symbolise la brutalité. Il tire de ses fables une morale qui est valable aussi bien au 17ème siècle qu'à notre époque. Si La Fontaine n’avait pas imager le roi et la cour peut-être aurait il été censuré. Dans cette fable il n’y a donc pas d’attaque directe envers le roi et la cour.

        Pour finir avec les avantages de l’imagination, elle permet en plus des deux arguments précédents de toucher un public plus large qui comprend les enfants, les adultes, les personnes âgés donc toutes les générations. On peut donc en déduire que c’est grâce à l’imagination que Jean de La Fontaine est d’autres auteurs du XVIIe siècle on battît le succès de leurs œuvres . En se penchant à nouveau sur les fables de La Fontaine, on arrive à se plonger dans chaque œuvres plus facilement grâce à l’imaginaire (les animaux à la place des hommes dans certaines fables). L’exemple de certaines fables tel que la cigale et la fourmi ou bien même le corbeau et le renard nous prouve que les fables sont accessible à tous car elles sont souvent étudiés en primaire voir au collège.

...