Lecture analythique L'école des Femmes scène 4 acte V
Commentaire de texte : Lecture analythique L'école des Femmes scène 4 acte V. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marieme Stylinhey • 27 Septembre 2015 • Commentaire de texte • 410 Mots (2 Pages) • 3 591 Vues
Il s’agit de l’extrait d’une œuvre parue en 1662 écrite par Molière un célèbre auteur du 17e siècle qui œuvre dans le registre du comique à cette époque où règnent les contes et les farces, dans lesquels on se moque des femmes en faisant allusions à leurs multiples défauts et à leurs fréquentes tromperies cocufiant leurs maris. Ce qui montre que la femme est un jouet pour l’homme à cette période et cette pièce de théâtre en 5 actes écrite en vers en est un parfait exemple. Elle appartient au registre comique.
Dans cette scène 4 de l’acte V Arnophle qui est le tuteur d’une fillette pauvre nommée Agnès qu’il a élevée cachée aux yeux du monde pour qu’il puisse l’épouser ensuite sans risque qu’elle le trompe, cherche a imposer a cette dernière de l’aimer lorsqu’il découvre que la jeune femme a rencontré un certain Horace qui s’est fait aimé d’elle et qui organise même son enlèvement. Mais Agnès lui montrera au cours de l’histoire qu’il n’a aucun droit de revendiquer son amour.
Ce passage nous permet de nous faire réfléchir sur la place des femmes dans cette société et leur droits ce qui nous emmènes a nous poser la question ‘Est-ce que Agnès arrive a se libérer de son tuteur’
Arnophle cherche a s’imposer face à la fillette qu’il a élevée, pour lui les soins qu’il lui a procuré pendant toute son enfance lui son redevable et elle devrait le remercier en quittant Horace pour rester avec lui et ainsi devenir son épouse. Pour cela il l’a fait passer pour une sotte à essayer de se défendre malgré que ses arguments soient valables contrairement à ceux du quadragénaire.
Tout d’abord, pour renforcer son idée, il prend le spectateur à parti en l’interpellant pendant son aparté en utilisant l’imparfait à la ligne 8 « Voyez » et l’apostrophe à l’ide des interjections l.9 « Peste ! » l.11 « Ah ! » et « ma fois ! »
Ensuite il s’adresse à Agnès à la troisième personne du singulier pour expliquer la situation comme à la ligne8 « la vilaine » L.9 « une précieuse en dirait-elle plus ? » l.10 « je l’ai mal connue » l.11 « une sotte » tournant la situation à son avantage, tout ça pour avoir le soutient du public .
Dans la suite de l’extrait, il s’adresse directement à Agnès à travers des formule de politesse comme le vouvoiement l.12 « votre » l.14 « vous »
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