Le parti pris des choses

Une lecture profondément lente et attentive

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Tout d’abord j’ai pris cette photo dans mon lit car de mes expériences de lecture j’ai compris que j’avais besoin d’être dans une position confortable pour bien me concentrer et pour pouvoir tirer toutes les exactitudes que le propos de Baudelaire nous fait part. En effet je trouve que particulièrement pour lire un recueil de poème en général, il faut faire preuve d’une grande attention et c’est donc pour ça que je tiens un crayon de papier qui me permet de noter des expressions ou des choses qui me permettront de mieux comprendre les poèmes lors de la rapide relecture. Je lis le recueil a la seule lueur de mes 2 lampes car j’ai l’impression de me sentir à l’époque des grands écrivains et poètes qui travaillaient tard le soir à la seule lumière de leur bougie. Par ailleurs, j’ai mon chat qui se trouve à côté de moi et ma fenêtre qui est ouverte car pendant ma lecture des Fleurs du Mal, je me sens comme bercés à la fois par les ronronnements de mon chat mais aussi par le chant d’une chouette qui niche au-dessus de chez moi. C’est notamment grâce à ces sensations que je me suis tourné vers “Le chat ”et “Les hiboux” pour les poèmes qu’il fallait apprendre en classe. Enfin cette photo caractérise bien ma lecture des Fleurs du Mal car en regardant et en commentant cette photo je me rappelle bien de la manière dont j’ai entamé cette œuvre et de ma lente et attentive lecture des Fleurs du Mal qui a débuté vers mi-septembre. J’ai vraiment bien aimé ce recueil et la diversité des poèmes que l’on peut retrouver sans oublier la qualité de la plume de Baudelaire.

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