Le Thème de la Souffrance chez Lamartine et Vigny
Dissertation : Le Thème de la Souffrance chez Lamartine et Vigny. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar james20e • 22 Mars 2016 • Dissertation • 1 623 Mots (7 Pages) • 1 145 Vues
James Enciso
Professor Sipe
French 3430
3 mars 2016
Le Thème de la Souffrance chez Lamartine et Vigny
Le développement humain est construit par des expériences d’apprentissage. Comme ces expériences nous définissent, nous apprenons comment ces expériences se transforment en nostalgie. Ainsi que les souvenirs se composent de la joie, de la douleur, et de la souffrance, ces souvenirs créent notre identité distinguée. Une identité construit par des souvenirs du passé, ces souvenirs déterminent notre conscience. Pourtant que nos consciences sont des produits idéologiques de Moi, on découvre plusieurs niveaux de signification de notre identité, en obtient une compréhension de ce qu’il définit la subjectivité de Moi. Le Romanticisme est une réaction du sentiment contre la raison, qui cherche le mystère et l’inconnu en examinant l’extase, la douleur, et la souffrance par l’observation de la nature. Contre les idées objectives et le raisonnement des intellectuels du Siècle des Lumières, les Romantiques utilisent leur connexion intime avec la nature pour découvrir de la nouvelle subjectivité d’une essence oubliée de l’intuition de Moi en concernant de l’imagination, la sensibilité, la spontanéité, et surtout la souffrance de la condition humaine. En posant la question : comment on découvre nous-même, en focalisant notre identité dans la nature ? De cela, nous pouvons d’avancer une hypothèse sur la nature de la souffrance.
Dans un premier temps, nous examinons les poètes romantiques comme de Vigny et de Lamartine en révélant comment retrouver le moment ou l’état qui précède la souffrance, l’amour et l’apathie. Pourtant que dans un deuxième temps, en comparant les figures de style et la structure dans « Le Lac » et « La Mort du Loup », nous nous interrogeons comment la nature fonctionne comme métaphore de la souffrance. Mais finalement, même si c’est une question opposant de l’objectivité de Raison contre la subjectivité du Moi, nous nous identifions comment l’individualisme et l’imagination se peignent une forme d’un art distinguée, notre identité.
Comme la création de l’art est le moment d’expression de Moi, les éléments comme la figure de style et la structure d’un œuvre servent un rôle important d’expliquer le sens moral et le symbolisme d’un écrivain romantique. Un auteur romantique qui captive un double registre de l’émotion et de la raison, de Vigny exprime l’apitoiement et l’admiration dans un point de vue romantique du narrateur par l’idéalisation du loup. En effet, par la passion du loup de dominer la souffrance et d’établir un sens à sa vie, l’œuvre donne une morale stoïcienne a ces spectateurs. En révélant ce qu’il définit l’essence de violence par la description saisissante de la victime : c’est une origine de conscience et une création des formes interculturelles d’un Homme civilisé. En procédant à une poésie à la fois linéaire et systématique, « La Mort du Loup » nous limite en trois partie : le passé, la chasse nocturne, et la mort.
Pendant le passé, on découvre une histoire du loup qui vie en isolation dans la nature : seul, silencieux, et séparé de l’Homme civilisé. En commençant par une rime plate (AABB) dans les quatre premiers vers « enflammée, fumée, l’horizon, gazon » le début a enrichi par une multitude d’images qui captive l’essence de la nature. Composé en alexandrins, les vers suivants symbolisent le calme avant la tempête qui suspendent le temps d’œuvre pour approfondit le paysage de la nature. Une figure de style de personnification est établie pour donner une caractéristique humaine au thème de nature et les loups. Comme l’enjambement se présente une continuation du temps, le silence et la tranquillité de la nature sont interrompus par la sagesse du plus vieux des chasseurs. En montrant un champ lexical de la chasse par les mots « préparé nos couteaux, fusils, écartant les branches, » ces mots essentiels signifient le commencement de la chasse nocturne.
Puisque la deuxième partie suivante symbolise la chasse, ces douze vers alexandrins montrent une retourne à la réalité. La narration change la prochaine scène au passé d’un présent narratif qui donne plus de vivacité et d’actualité à la chasse. En montrant des caractéristiques humaines, la reconnaissance d’accepter sa futilité d’un combat inégal est personnifiée par les loups. « Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, À ne jamais entrer dans le pacte des villes Que l’homme a fait avec les animaux serviles. »
Sans l’assistance et d’assimilation dans une société objective qui utilise la raison pour la Recherche de comprendre, on découvre nous-même une intuition subjective a l’intérieur : un perspectif du Moi. L’action de la Louve de défendre ses enfants contre le pacte des villes les enseigne comment on souffre et vive dans la nature. Par sa souffrance, la louve présente une leçon stoïcienne : comment on vie et s’adapte notre identité dans l’environnement si difficile. Pourtant que ces animaux sont contrôlés par la puissance d’une culture opposée a la nature, une société forgée par l’homme civilisé, ces animaux serviles symbolisent ce qu’on deviendra si on s’intégrer au pacte des villes. Comme la résistance du loup de s’intégrer avec le pacte de ville exprime l’idée essentielle du poète, c’est de conserver la subjectivité de Moi et comment on souffre dans une nature si complexe. On perçoit aussi comment les fils du loup symbolisent la société française du XVIII siècle, l’écrivain exprime comment on doit garder l’intuition du Moi par la condition humaine en particulier, l’expérience de la souffrance.
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