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La colonie par Marivaux

Fiche de lecture : La colonie par Marivaux. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Avril 2022  •  Fiche de lecture  •  1 297 Mots (6 Pages)  •  1 993 Vues

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La Colonie

La Colonie est un livre qui fût écrit par Marivaux née en 1688 et morte en 1763. Le genre du livre est une comédie écrite en prose et en un acte dont l’action se joue sur une île. La Parution du livre eu lieu en 1750 à Paris et il y a 7 personnage principale plus une troupe de femmes et le thème est sur la relation entre homme et femmes

Madame Sorbin, femme d’artisan et Arthénice, femme nobles, au début de la scène viennent d’être investies d’un « pouvoir » particulier par les femmes. Elles décident donc de s’unir et il est question d’établir une nouvelle forme de gouvernement. L’opposition hommes et femmes en termes de pouvoir est d’ores est déjà très présent et les affrontement entre hommes et femmes commence déjà à apparaître. Elles évoquent même entre elles les rapports sentimentaux avec les hommes et disent vouloir s’en détacher pour se consacrer entièrement à leur projet. Elles décident de réunir les femmes présentes sur l’île. Voyant passer certains hommes, elles décident d’interpeller Timagène, un homme noble épris d’Arthénice. Arthénice et madame Sarbin interrogent les deux hommes sur les sujets abordés lorsque les hommes de l’île se rassemblent. Elles appprennent ainsi qu’un Conseil est en train de se construire et s’apprêtent à désigner des représentants pour « travailler aux lois ». Quand Madame Sorbin suggère que les femmes soient également consultées, elle est rabrouée par son mari (« Tais-toi avec les femmes, il est bien question de rire ») . Arthénice et madame Sorbin, ne se souciant des moqueries des deux hommes qui leur font font face , leur annonce qu’elles ont bien l’intention elles aussi  de formuler des lois. C’est l’occasion pour Arthénice de prendre la parole de manière plus solennelle et s’adressant surtout à Timagène. Elle est interrompue assez fréquemment par monsieur Sorbin. Mais elle expose néanmoins les raisons qui ont conduit la société présente sur l’île à quitté leur patrie d’origine pour éviter la mort ou fuir l’esclavage de l’ennemi. Elle rprésente leur arrivée « dans ce pays sauvage «  et « bon » comme opportunité de renouveau en matière de gouvernement. Timagène est dans l’incompréhension totale et ne comprend pas et n’entend pas, même la volonté des femmes de rompre avec la domination masculine ui existait dans leur ancienne patrie. Après plusieurs outrage subis par les deux femmes, une reunion de femmes s’engage alors. Un homme présent sur la scène qui réunit Arthénice, Madame Sorbin, Lina et Persinet. Le bute est pour Persinet de demander à Mme Sorbin la main de Lina. C’est l’occasion pour Arthénice de demander à Madame Sorbin de rejeter le jeune homme «  les circonstance présentes nous obligent de rompre avec toute son espèce. ». La jeune Lina ne comprend pas ce rejet brutal et la conversation tourne vite au sujet de la guerre. Quand elle s’adresse à Persinet, madame Sorbin lui déclare : « ne vous approche pas jusqu’à la paix. » suite a cela le jeune homme veut savoir ce qui a pu causer cette « maudite guerre ».  Lina, Arthénice et Mme Sorbin parlent de la modalité du mariage, les deux femmes plus âgées tentent d’expliquer à la jeune Lina en quoi la structure sociale du mariage n’a rien a voir avec l’amour et n’est qu’un outil de domination de l’homme sur la femme. Puis d’autres femmes s’approche et la conversation sur le mariage s’interrompt. Les femmes qui arrivent sont désqigner comme députées. Elles viennent doter Arthénice et madame Sorbin de signes distinctifs symbolisant leur statut de « chefs ». S’en suis alors une présentations de serment de la part de chacune des deux femmes. Arthénice place au centre de sa réplique «  les droits de son sexe opprimé ». Et madame Sorbin, dans un langage moins châtié insiste sur le fait qu’a l’avenir « Madame voudra Monsieur partout.» .  Les femmes et les députées présente leur réponse aux deux prestation du serment. Les femmes se liguent  donc ici pour un projet commun qui prend principalement à ce stade une dimension politique mais touche aussi à l’intimité de la vie de couple. Il ne s’agit ici que d’utiliser les service de Persinet pour déplacer des bancs en vue de la tenue d’une assemblée. Une fois le service rendu, et alors qu’il veut s’asseoir, il est a nouveau brutalement pousser par Arthénice et mme Sorbin. La défense de Lina n’y change rien. Mais les quelques répliques de la jeunes fille en faveur de son jeune amant sont là pour montrer qu’il reste a convaincre la nouvelle génération de l’importance du projet mené par les ainées. Une conversation entre Arthénice et Mme Sorbin au sein d’une assemblée de femmes. Après avoir dénoncé la misogynie masculine, Arthénice engage un débat a partir de la question «  qu’est ce qu’une femme, seulement a la voir ? » il s’agit alors dans un premier temps de définir la féminité par l’apparence féminine. Bien au-delà de glorification du charme féminin qu’elle vient de mettre en avant, Arthénice s’attaque avec une extrème virulence à l’avilissement des femmes aux tâches ménagères sous le joug des hommes. L’esprit féminin se trouve ainsi, selon elle, mis en berne et étouffé sous le poids de tâches indignes et subalternes. Elle dénonce au sein d’un dialogue très rythmer, la coquetterie à laquelle la femme se réduit sous l’oppression du désire masculin. A l’initiave de mme Sorbin, quelques unesproposent de faire le vœu d’être laide afin de s’affranchir de cette domination masculine. Mais cette proposition est contstée par certaines autres femmes. Et la discussion tourne en dispute insultante. Les premiers désacords apparaissent les deux « chef » sont même conterstées au sein de l’assemblée des femmes. L’initiative semble donc devoir tourner court et la dispute a cédé la place au conseille initiale des femmes. Lina, mme Sorbin et arthénice conviennet de passer a la rédaction d’une ordonnance l égsislative. Elle demande à Lina de surveiller le passage des hommes et lui défendre de s’approcher de PErsinet. Persinet s’avance alors que Lina est seule, puis commence une conversation amoureuse a la fois originale et comique. Marivaux mzet en avant l’absurdité de l’interdiction faite à Lina de parler à Persinet. La conversation amoureuse devraut être empêchée. Elle parvient tout de même a se dévoiler. Le dialogue est tendre et marqué par le lexique de l’amour. Les deux amant sont contraints de se séparer en constatent l’arrivée des autres hommes. Persinet tient lieu de messager : Lina l’a informé diu projet des femmes. Il accourt vers monsieur Sorbin et lui décrit leurs nouvelles disposiytion « c’est une émeute, une ligue, u  tintamarre, charivari sur le gouvernement du royaume. » Le jeune homme intercède pour défendre la parole des femmes et prétend qu’il serait plus judicieux d’associer les femmes au gouvernement et à la réduction des lois. Puis tout cela se calme grâce a des accords et tout se stabilise jusqu’à un jour où a question de la guerre se déplace également : les habitants de l'île viennent attaquer la troupe nouvellement arrivée. Les femmes confient aux hommes la tâche de mener la bataille et ne veulent pas y prendre part. Le stratagème de Hermocrate a fonctionné. La querelle hommes / femmes est close. Rien ne changera. Les hommes restent au pouvoir, les nobles restent socialement dominants.

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