La Gloire de mon père, Marcel Pagnol
Fiche de lecture : La Gloire de mon père, Marcel Pagnol. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Deportivo1996 • 9 Décembre 2018 • Fiche de lecture • 1 015 Mots (5 Pages) • 1 803 Vues
La gloire de mon père
Cette document est un résumé de le vocabulaire que j’essayez a entendre dans le livre la Gloire de mon père
Aïeux→grand-père, grand-mère
Brevet→ diplôme
Hameaux→ Groupement isolé de quelques maisons, en milieu rural
Méprisaient→ verbe mépriser- Juger quelqu’un indigne d’estime, d’attention
Pouilleux→ brut
Réussi→ qui a du succès
Échec→insuccès
Évêque→Prêtre de l’Église catholique qui dirige un diocèse
Prêtres→ membre du clergé
Sifflotait→siffler
Frangipane→Crème pâtissière à base d’amandes
Rallumer→Allumer de nouveau
Tilleul→Infusion calmante préparée avec des fleurs de tilleul
Emmitouflée→ Se couvrir chaudement
Sage-femme→ Femme dont la profession est de faire des accouchements
Ravissement→ Admiration, joie
Rattraper→ Attraper de nouveau, récupérer
Hurler→ Parler, crier très fort
Dépanner→ Remettre en marche quelque chose qui est en panne
Bêtement→ De manière bête
Ficelle→ Petite corde pour attacher les paquets
Banlieue→ Ensemble des agglomérations qui entourent une grande ville
Pot-au-feu→Bouilli de bœuf avec des légumes
Gamin→ Enfant
Sage→ Tranquille, docile
Crainte→ Peur
Faubourg→ Partie d’une ville qui était autrefois dehors de son enceinte
Frêle→ Fragile
Affoler→ Bouleverser, inquiéter
Bénir→ Louer, remercier
Remuer→ Mettre en mouvement
Couramment→ Facilement
Marmaille→ Ensemble bruyant de jeunes enfants
Mâchoires→ Os de la face portant les dents
Espoir→ Sentiment d’une personne qui espère, qui attend avec confiance
Châtain→ qui a des cheveux de la couleur de la châtaigne
Blasé→ Qui est revenu de tout, ne s’intéresse plus à rien, qui est devenu indifférent à ce qui doit émouvoir
Chavirer→ faire renverser
Hâter→ Rendre plus rapide, se dépêcher
Chapeau melon
Canotier
Pot de chambre
Ruisseau
Graviers
Comble
Gobelets
Poliment
échapper
Berlingots
Naïf
Éblouit
Le massif du Garlaban (vu depuis la ville d'Aubagne).
« Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers »
Marcel Pagnol, né le 28 février 1895, raconte son enfance, sa naissance à Aubagne, et les origines de ses parents. Sa mère Augustine a donné naissance à trois autres enfants : Paul, né en 1898, Germaine, née en 1902 et René, né en 1909. Son père Joseph Pagnol, instituteur, est nommé à l'école du Chemin des Chartreux et la famille s'installe à Marseille. Tous les jeudis et tous les dimanches, il fait une promenade dans le parc Borély, au bord de l'étang avec sa tante Rose. C'est d'ailleurs là qu'elle rencontre l'oncle Jules qui se fait passer auprès de l'enfant pour le propriétaire du parc.
Tout semble opposer Joseph, l'instituteur anticlérical, au truculent et catholique oncle Jules ; pourtant les deux familles décident en 1904 de louer ensemble une maison de campagne dans les collines, la « Bastide Neuve » pour y passer les vacances d'été. Après un long trajet dans les chemins, derrière la mule tirant les meubles et les provisions nécessaires au séjour, ils parviennent à cette petite villa située aux Bellons après le village de La Treille. Ces vacances sont une révélation pour le jeune Marcel et son frère qui tombent amoureux des collines emblématiques de la Provence, de sa végétation sauvage, de ses massifs de roche : Garlaban, Tête Rouge, le Taoumé.
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