L'enterrement du père Goriot

L’enterrement du père Goriot.

Structure :

l.1 à14 : Des funérailles sordides.

l.15 à 25 : Un nouveau départ.

Rastignac monte à paris pour réussir. Rastignac même s’il a n’est pas un ange, il ment à ses parents, il est grisé par la vie parisienne.

Le père Goriot est un roman d’apprentissage.

Comment cette enterrement porte-t-il un critique sur la société parisienne ?

1. Des funérailles sordides.

Une critique de la religion :

Dans le premier paragraphe on a le champs lexical e la religion « prêtre, enfant de chœur et le bedeau », « religion », « clergé » qui va cohabiter avec le champ lexical de l’argent « 70 francs », « riche », « gratis », c’est le champ lexical de la religion qui est le plus important néanmoins l’église semble avoir perdu ces valeur, on a enterrement en fonction de l’argent que ‘l’on donne. Ironie sur la bienveillance de l’église « donnèrent tous », ils font tous ».

Balzac fait une critique de la religion dans ce texte car il va montrer son lien avec l’argents, en effet il explique que c’est la somme que l’on met dans un enterrement qui va en faire sa beauté « donnèrent tous ce qu’on peut avoir pour soixante-dix francs », on voit que l’on doit payer pour avoir une cérémonie. Cette notion va être appuyer une nouvelle fois avec « une époque où la religion n’est pas assez riche pour prier gratis », cette phrase est ironique, elle souligne à quelle point l’église est avare, en effet à cette époque l’église était riche. De plus, le terme « gratis », dénote du reste du texte au niveau du registre de langage utilise, qui jusque-là était soutenu, on a une volonté de choquer le lecteur sur la perte des valeur de l’église. De plus, on a une cérémonie avec le minimum d’élément possible que ce soit au niveau des chants « un psaume, le Libera, le De profundis », mais également un service funèbres très court, on a l’impression que les chant s’enchaine avec l’énumération. De plus on a la durée de la cérémonie « vingt minutes » (pas de fioriture, choque) dans ces citations on voit l’avidité de la religions. On a un anonymats du père Goriot en effet, son nom n’est même pas mentionné. On a une tournure restrictive « il n’y avait qu’un seul voiture ». De plus, on a des membres de l’église presser le terme « consentirent », donne l’impression qu’il s’agit d’une obligation. Cette impression va être renforcer notamment par le discourt direct de l’homme d’église »il n’y a point de suite », négation total « nous pouvons aller vite, afin de ne pas nous attarder, il est cinq heure et demie » on a une parataxe qui va donner l’impression que ces propos sont saccadés, rapide, c’est une habitude. Le prêtre va dire de manière différentes qu’il est temps d’y aller car cela lui aura déjà pris du temps. On a aucune charité de la part du prêtre, pas de compassion. De plus l’enterrement se déroule en fin de journée. Enfin, Balzac va donner beaucoup d’indication sur les tarifs, les horaires, le nombres de personne de l’église présente. Cela va donner l’image que l’église planifie tous, rythme tous, pour pouvoir s’enrichir plus vite.

Un enterrement dans une grande solitude :

Le père Goriot part dans le dénuement le plus totale, on ne le nome même plus, on parle de lui entant que corps, on a également le plus grand dénuement « 2 voiture armorier, mais vide », on a de nouveau une mansion de l’argent mais également du paraitre, on ne voit aucun sentiment. De plus, on a plus de lien familiale, ont accomplie le protocole « celle du compte de Restaud et celle du baron de Nucingen », on ne mentionne même pas les filles. On voit que les filles ont totalement renier leur père, on a une grande ingratitude de la part des filles. « Les gens de ses filles », c’est grâce au père Goriot qu’elles ont des serviteurs. Les gens vont accomplir la tache que l’on leur a donner « « qui disparurent avec le clergé aussitôt que fut dite la courte prière », rappelle de la critique de l’argent « la courte prière due au bonhomme pour l’argent de l’étudiant », on a avec « se présentent, suivre, disparurent » au passer simple une succession d’action rapide.

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