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Juste la fin du monde

Commentaire de texte : Juste la fin du monde. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Mai 2022  •  Commentaire de texte  •  689 Mots (3 Pages)  •  383 Vues

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Analyse linéaire 1 : juste la fin du monde

Mouvement 1 : communication de louis réduit à quelques mots

L1à2 : elle met en relief le peu de relation que louis a avec sa famille, elle dit qu’ils leurs n’écrivait pas beaucoup avec la répétition « parfois » marqueur temporelle, il y aussi « tu nous envoyais des lettres » et « tu nous envoies des lettres » c’est une épiphore elle manifeste le souci de précision de Suzanne

L3 : nouvelle correction, elle précise que ce ne sont même pas des lettres, se sont donc des textes très court avec peu d’informations. Avec à la fin une question rhétorique puisqu’elle y répond ligne 4.

L4 : elle répond à la question rhétorique avec des mots très précis avec une gradation jusqu’au mot « rien » pour dire qu’ils n’écrivaient que des contenues vides, en gros il ne donner pas de nouvelles. Elle finit avec une question rhétorique qu’elle répondra à la ligne 5.

L5 : réponse à la question rhétorique avec l’ADJ soutenue « elliptique » pour résumé tous ce qu’elle a dit.

L6 : c’est conclusif, elle traduit sa pensé et c’est réel

Mouvement 2 : la distance créée par le métier de Louis :

L7 : passage à la première personne « je », on va avoir sa pensé, son ressenti personnelle. Répétition par épiphore de la subordonnée circonstancielle de temps « lorsque tu es partie » que ce moment du départ de son frère, c’est un moment qui a impacté Suzanne.

L9 : métaphore familière « faussé compagnie » qui évoque l’abandons, « là que ça commence » met en relief une période de manque douloureuse et difficile. De plus la subordonnée circonstancielle de temps « lorsque j’étais enfants » insistes sur le traumatisme que Suzanne a subi via l’abandons de son frère.

L10-11 : une tentation de comprendre pourquoi Louis est partie durant son enfance. Etant petite elle chercher pourquoi il n’est pas revenu et surtout à cause de quoi donc elle suppose que c’est à cause de son métier, elle se questionne sur ce qu’il fait. Avec l’accumulation des mots

L12 : elle conclut, elle a compris que son frère est écrivain avec la répétition du verbe « écrire ». Son frère est écrivain.

L13 : c’est une tournure alternative familière qui annonce une précision quant à ce que Suzanne a compris du destin professionnel de son frère.

L14-15 : la famille admire les faites que Louis soit écrivain grâce au pronom « nous » se ressentie commun est donc une grande admiration avec la Répétition de « admiration ». « Tu le sais, tu ne peux pas ne pas le savoirs » -> ton accusateur.

L16 : « ou que de toute façon », Suzanne revient à ces moutons, elle revient à son idée du début.

Mouvement 3 : le paradoxe du frère écrivain qui n’écrit pas à sa famille

L17 à19 : 3propostion subordonné circonstancielle d’hypothèses c’est les faites que Louis quand il en a besoin pour lui, écrit « la nécessité » « désir » le terme désir indique qu’écrit est pour lui un plaisir.

La proposition principale commence à la ligne 19, louis sait qu’il peut parfaitement écrire.

Adverbe « soudain » suggère que Louis peut écrire à n’importe quel moment.

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