Fin du monde et fausse fin du monde

Après la fausse fin du monde, tout le monde surveille de près le passage des astéroïdes dans notre ciel. Sait-on jamais que l’un d’eux ait la mauvaise idée de nous percuter, mieux vaut être attentif ! D’un poids estimé à 135 000 tonnes, l’Astéroïde 2012 DA14 devrait passer à 27 700 km de la Terre, sans qu’il n’y ait le moindre risque de collision si l’on en croit les chercheurs de la Nasa.

Pour autant, l’astéroïde passera suffisamment près de la Terre pour qu’il soit possible de l’observer via des jumelles ou des télescopes. L’heure optimale d’observation de l’Astéroïde 2012 DA14 est située entre 20 h 30 et 21 h 30. Ne manquez pas son passage ce 15 février car un tel phénomène ne se produit qu’une fois tous les 40 ans environ pour un astéroïde de cette taille.

« Les amateurs avertis équipés de jumelles, lunettes ou télescopes devraient cependant pouvoir le détecter. Il apparaîtra comme un point mobile, comme un satellite artificiel qui défile entre les étoiles » expliquent des scientifiques du Laboratoire de Paris.

Après la fausse fin du monde, tout le monde surveille de près le passage des astéroïdes dans notre ciel. Sait-on jamais que l’un d’eux ait la mauvaise idée de nous percuter, mieux vaut être attentif ! D’un poids estimé à 135 000 tonnes, l’Astéroïde 2012 DA14 devrait passer à 27 700 km de la Terre, sans qu’il n’y ait le moindre risque de collision si l’on en croit les chercheurs de la Nasa.

Pour autant, l’astéroïde passera suffisamment près de la Terre pour qu’il soit possible de l’observer via des jumelles ou des télescopes. L’heure optimale d’observation de l’Astéroïde 2012 DA14 est située entre 20 h 30 et 21 h 30. Ne manquez pas son passage ce 15 février car un tel phénomène ne se produit qu’une fois tous les 40 ans environ pour un astéroïde de cette taille.

« Les amateurs avertis équipés de jumelles, lunettes ou télescopes devraient cependant pouvoir le détecter. Il apparaîtra comme un point mobile, comme un satellite artificiel qui défile entre les étoiles » expliquent des scientifiques du Laboratoire de Paris.

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