J'aime l'araignée , Victor Hugo
Fiche : J'aime l'araignée , Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar victoria2605 • 7 Mai 2022 • Fiche • 543 Mots (3 Pages) • 630 Vues
J’aime l’araignée, Victor Hugo
introduction :
Dans ce poème, le poète exprime sa pitié à l'égard des choses mal considéré. Il tente de combattre les préjugés des hommes envers les êtres rejetés. Il déclare un amour surprenant pour l'araignée et Lortie alors qu'elles sont habituellement pas aimé par les hommes
Problématique : de quelle manière Hugo procède-t-il pour nous faire changer la vision héronnée de l'araignée et l’ortie ?
mouvements du texte :
vers 1 à 16 : le poète énumère les raisons de son amour pour l'araignée et l’ortie
vers 17 à 28 : il souhaite que nous considérons notre dédain pour ces êtres « mauvais » et que nous les aimons comme lui le fait
analyse linéaire :
L1 : « j’aime » , répétition/parallélisme, il met en avant ses préférences, la première personne souligne le fait que son point de vue est personnel
L1-2 : « aime/hait » , antithèse , il est seul à penser que ces êtres sont aimables son avis est opposé à celui de tous les autres
L4 : « morne souhait », oxymores , elles veulent être aimé mais savent d'avance que cela ne sera pas le cas
L6 : « noirs » , adjectif , connote la tristesse, elles semblent être dans l’ombre, personne de les remarque
L8 : « guet-apens » : nom masculin, elles se retrouvent dans une situation inextricable dont elles souffrent
L10 : « ô » , interjection , le poète par cette interjection prend à témoin le destin, les termes appartiennent au registre tragique
L11 : « l’ortie est une couleuvre » : métaphore , l’ortie est assimilé à une couleuvre, sans doute parce que la couleuvre est un serpent inoffensif, l'auteur veut peut-être nous faire penser qu'il ne faut pas craindre l’ortie
L12 : « l’araignée un gueux », personnification , meg personnifie l'araignée en utilisant un terme qui s'applique ordinairement qui a des humains
L14-16 : « fuit/nuit » : contre rejet , cette rime en position de contre rejet souligne le renversement d'un point de vue opérés par Hugo : elles sont faussement considéré comme mauvaise, à l'inverse elles subissent le mal
L17-20 : « son (p) » récurrence , la récurrence du son « p » dans la strophe souligne la plante du poète qui demande de prendre en pitié ses êtres
L21 « n’est rien/ n’ait » : négation , les deux éléments négatifs met en valeur le mot « mélancolie »
L25 : « superbe » : adjectif , ici « superbe » signifie l'orgueil, évidemment c'est l'homme qui dédaigne l'araignée et l’ortie et non l'œil en lui-même
L27 : « la vilaine bête et la mauvaise herbe » , comparaison , leur union se fait harmonieusement
L28 : « Amour » , nom masculin , on remarque la majuscule au début du mot, ce qui le met en valeur. Le poète forment donc comme un cycle , une boucle qui nous invite à relire le poème du début mais cette fois-ci en adoptant le point de vue d’Hugo
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