Invention: Lettre de Suzanne à son frère Louis (Juste la fin du monde)

Ma chère Suzanne,

je t'écris une lettre et pas une carte postale comme tu aurais toujours désiré!

Je suis d’ailleurs très désolé d'avoir été si rapide a repartir de notre maison, je serais voulut rester mais il n'a pas été possible.

Je voudrais te racontai toutes ces choses que je ne t'ai jamais écrit pendant ces 12 ans.

J’ai compris seulement maintenant que j'ai fait passer trop de temps sans jamais donner des nouvelles de moi ou en écrivant seulement « des petits mots ou des lettres elliptiques », comme tu ma écrit dans ta lettre.

J'aurais dû maintenir avec vous les contacts de manière plus continue et ne pas rompre le lien familier.

Tu me dis que j'ai écrit pour les autres et pas pour vous et seulement maintenant je m'aperçois de ceci; j'ai égoïstement écrit pour moi, parce que j'aime mon travail, je vis passionnément les histoires que je raconte.

Malheureusement, la vie, le travail, la routine quotidienne font passer le temps sans que les gens se rendent compte que les jours, les mois, les années passent très rapidement.

J’ai vécu beaucoup d’années sans ma famille et donc il me semblait d'être loin de vous même si j'étais assis à côté de vous.

Seulement quand tu t'arrêtes à réfléchir, alors tu comprends que les affections, la famille sont les choses les plus importantes et, alors tu voudrais récupérer le temps perdu, mais ce n'est plus possible!

J'ai perdu les années les plus beaux de notre vie et j’ai connu une sœur déjà adulte!

Seulement maintenant je comprends que tu a souffert pour mon absence; savoir que t’avais un frère mais il était comme ne l’avoir jamais eu, tu ne pouvais rien diviser avec lui et maintenant je suis très triste de ne pas t’avoir connu avant. Je suis resté choqué de l’admiration que tu a pour moi et en voyant tes dessins j’ai compris ta tristesse. Tes dessins exprime une grande anxiété.

Nous n'avons jamais joué ensemble, nous n'avons jamais couru sur les prés ou ensemble grimpé sur les arbres, nous n'avons jamais rit ensemble, nous n'avons jamais discuté ou levé la voix entre nous; je ne t'ai jamais embrassés fort pour la joie ou pour la peur, je ne t'ai jamais pris pour main et je ne t'ai jamais aidé à faire les devoirs.

Pour toi, je suis un étranger : tu me regardais, tu m'observais attentivement, je pense que tu voudrais me demander de ma vie, les motifs de mon départ inexpliqué. Je ne sais rien de toi, de ta vie. Cette situation est vraiment bizarre! Nous sommes frères!

J’aurais voulu te connaitre mieux, mais il n’y a plus de temps car la vie est très courte pour moi!

Dans la journée ou on c’est revue, j'ai compris que nos sentiments, un pour l'autre, sont très profonds et il me manquera de ne plus revoir ton sourire, tes splendides et mélancoliques yeux bleu ou de ne plus entendre ta voix, mais tu ne devras pas pleurer quand je serai loin, car je te prendrai toujours pour main, comme j’aurais voulu faire quant tu était petite.

Je devrais t’expliquer ma

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