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Fable la fontaine morale

Analyse sectorielle : Fable la fontaine morale. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Mars 2020  •  Analyse sectorielle  •  770 Mots (4 Pages)  •  541 Vues

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COMMENTAIRE COMPOSE

     Guy de Maupassant est un écrivain littéraire français du 19ème siècle. Il est connu pour ses romans qui ont un franc succès fin 19ème siècle.

Ici nous étudierons sa nouvelle « Boule de Suif » publié en 1880.

Dans cette nouvelle nous apprenons que 10 personnes sont en diligence pour fuir leur ville. La faim envahit tout le monde et Boule de Suif décide donc de sortir son panier garnit et de partager.

En quoi Guy de Maupassant montre-t-il les différentes classes sociaux dans sa nouvelle.

Tout d'abord nous allons parler de abondance de nourriture qu'il y a dans la diligence que Boule de Suif a ramené puis ensuite nous parlerons des différents caractères des personnes présentes et leur façon d'être.

     Pour commencer il y a énormément de nourritures dans cette nouvelle, il y en a partout et beaucoup. Lorsque Boule de Suif sort son panier : « Puis une vaste terrine dans laquelle deux poulets entiers, tout découpés, avaient confit sous leur gelée ; et l'on apercevait encore dans le panier d'autres bonnes choses enveloppées, des pâtées, des fruits, des friandises... ». Et dans tout le texte on nous fait de longue liste de nourritures comme ça. Puis à la fin on remarque l'ironie de l'auteur qui nous dit qu'il ne reste que ça dans le panier puis ensuite fait une liste très grande : « Le panier fut vidé. Il contenait encore un pâté de foie gras, un pâté de mauviettes, un morceau de langue fumée, des poires de Crassane, un pavé de Pont-l'Evêque, des petits fours et une tasse de cornichons et d'oignons au vinaigre, Boule de Suif, comme toutes les femmes, adorant les crudités. ».

Là encore il y a de l'ironie « comme toutes les femmes, adorant les crudités » alors qu'il n'y a que du gras dans la longue liste avant alors que les seules crudités qu'il y a est une tasse de cornichons et d'oignons qu vinaigre.

On assiste ici alors à un repas gargantuesque.

     Pour parler de Boule de Suif, elle nous est représentée comme une femme qui ne pense qu'à ramené beaucoup de nourritures mais aussi une femme qui sait partager avec n'importe sans faire de différence entre pauvre ou riche car dans la diligence il y a des nobles, des aristocrates, des religieuses et une prostitués.

Au début du texte on peut voir que Boule de Suif fait attention à la façon dont elle va manger en sortant son assiette de faïence, sa fine timbale en argent puis elle se met à manger délicatement. A la fin du texte tout le monde oublie cette façon de manger, il ne cherche qu'a manger et boire beaucoup.

     Comme nous l'avons dit avant la diligence est constitué de nobles, d'aristocrates, de religieuses et d'une prostitués.

Tout d'abord ces gens sont représentés comme des personnes jalouses qui veulent se débarrasser de Boule de Suif et de son panier dehors. Puis lorsque Boule de Suif décida de partager son panier en premier avec Loiseau car il dévorait des yeux la terrine de poulet, ils devenaient plus conviviale avec Boule de Suif et les autres. Bien que certains résistaient à cet envie de manger « … , le comte et la comtesse de Bréville, ainsi que M. et Mme Carré-Lamadon souffrirent ce supplice odieux qui a gardé le nom de Tantale. ». Mais ils ne résistaient pas longtemps.

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