Evaluation d'histoire

Chapitre 1 : Nous voilà à Londres

Moi, Erine Collins m’apprête à raconter mes folles aventures passées avec mes deux meilleurs amis : Anselme Fauré et  William Daft

Nous étions en 1870 lorsque mon père eut l’idée de nous installer à Londres ma mère et moi. Ma mère fut la première à rechigner tandis que moi, fus plutôt contente de l’apprendre. J’allais enfin pouvoir quitter mes « compagnes de thé » parlant froufrou toute la journée à en mourir, et pouvoir ne plus voir à chaque coin de la rue

  des femmes enguirlandés de vêtements ridicules bien qu’il n’ait pas cela à Londres, mais Londres est toujours une ville pleine d’actions, d’informations palpitantes, ce que justement ma mère Hannah Collins reproche. En allant à Londres, je me sentirais protégée de la guerre contre la Prusse.  Mon père dut prendre plusieurs jours afin de convaincre ma mère pour qu’elle y aille aussi.

- C’est de la folie Leohnard, l’on risque d’être attaqué en cours de route . Lui répondit-elle

- Ma mie, soyez raisonnable, vous préférez restez encore plusieurs années dans un pays en guerre, ou préférez vous 1 heure de trajets sous les armes à feux puis plusieurs années passée à être tranquille

avec le plaisir de pouvoir voir ses amies, à prendre le thé sans soucis et passer du temps avec votre famille. A vous de voir, mais réfléchissez avant de vous hâter dans votre décision. La seule réaction de ma mère fut de boudé comme un enfant et mon père et moi se regardèrent amusés en pouffant dans nos mains. Je puis vous le dire, mon père avait un grand sens de l’humour volontaire tandis que ma mère réussissait à faire des réactions faciales tellement amusantes que ma mère aurait pu divertir toute une cour. Mon père était un grand homme d’affaire souvent absent, mais lorsqu’il revenait pour quelque temps de ses voyages, lui et moi passions nos journées à visiter des lieux culturels, des expositions d’oeuvres d’art, nous discutions de nos lectures préférés. Tandis que ma mère passait son temps à broder des mouchoirs, parler avec d’autres femmes de la société de choses mondaines, et faisait des emplettes pour ses besoins esthétiques personnels. Elle et moi étions totalement différentes, j’étais une fille ayant besoin de liberté, un peu rebelle lorsqu’il s’agit de ma mère et ayant un monde qui m’appartient contrairement à ma chère maman qui était calme étant raffinée et mesurée.

Je l’aimais plus que tout, mais elle se résignait à porter ce masque de la mère ayant aucun relation avec sa fille. Elle avait des yeux bleus myosotis et les cheveux bruns lisses écorce tandis que moi, avais les yeux marrons noisettes, et les cheveux châtains clairs ondulés. Je me hâtai de gravir les marches de l’escalier de ma grande maison afin de préparer au plus vite mes bagages, je mis ma géante bibliothèque à l’intérieur de ma valise en priorité. Le savoir est à emporte partout ou l’on va me répétait souvent mon père. Dans ma deuxième valise je mis

les  quelques robes que je possédais, mes dessous, et mes accessoires de toilette. Et dans le troisième bagage, je rangeai toutes sortes de bibelots, papiers, cahiers ou je faisais mes devoirs.

Je fus tellement enthousiasmé que je commençais à danser le menuet une des danses que ma mère m’obligeait à connaître. Je finis par m’assoupir sur mon lit car la fatigue me gagna. Papa ouvrit la porte et vit  

toutes mes affaires emballées.

Il me réveilla, j’ouvris les yeux, et m’embrassa sur le front. A voir son expression faciale, il semblait ravie, peut-être qu’il avait convaincu maman.

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