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Dissertation générale jeunesse

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Par   •  20 Mai 2019  •  Dissertation  •  1 706 Mots (7 Pages)  •  3 518 Vues

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Dissertation générale

Dans les mœurs actuelles, la jeunesse est souvent représentée grâce au physique d’une personne ou grâce à la période de la vie dans laquelle elle se trouve. La jeunesse est bien souvent associée à l’âge et non pas au caractère. Un enfant sera forcément jeune et des grands-parents seront vus comme âgés. Pour un grand nombre de personnes, la vie est rythmée de grandes étapes qui caractérisent notre âge. Un adolescent au gymnase sera considéré comme un jeune homme et bénéficiera alors de tous les attributs associés, tel que l’énergie, l’insouciance ou l’innocence. À l’inverse une retraitée passera plutôt pour une vieille personne que la vie à usée, qui n’est plus maitresse de faire tous les mouvements désirés à cause de son corps fatigu. Elle est aussi vue comme très expérimenté du fait de son parcours. Seulement, ceci n’est pas la seule définition de la jeunesse possible car au-delà de l’aspect physique que nous nous représentons de la jeunesse, il existe également un côté psychique qui y est associé. La curiosité, l’insouciance ou encore les rêves forment la jeunesse d’une personne. Or ceci n’est pas forcément relié à un nombre d’années vécues ou une période spécifique de la vie.

C’est pourquoi, le général américain Douglas Macarthur déclare « La jeunesse n’est pas un moment de la vie mais un état d’esprit. » Nous pouvons comprendre que la jeunesse est un aspect de la vie et non pas un moment de la vie. C’est une manière de voir les choses et de vivre des moments avec un certain état d’esprit.

C’est pourquoi, nous allons alors voir comment, même si notre corps vieilli et s’use aux cours des années, nous pouvons rester jeunes dans notre tête. Comment le positivisme permet justement de pouvoir entretenir la jeunesse d’esprit et finalement, nous verrons comment l’Idéal de Macarthur définit sa façon de voir la jeunesse.

Certes, la vie nous fait vivre des moments uniques et différents pour chacun d’entre nous. Elle a un fort impact sur notre psychologie et notre physique. Le corps subit parfois des effets importants lors de l’existence. Il peut devenir moins agile et il peut ne plus faire tous les mouvements désirés. Ce genre de problèmes peut arriver effectivement avec l’âge. Ceci montre alors que le corps est obligé de vieillir avec le temps et le années, c’est pour ceci que nous pouvons considérer la jeunesse comme un moment limité de la vie et non un état d’esprit. Au-delà de vieillir physiquement nous ne pouvons pas négliger le côté psychologique que l’expérience de la vie a sur notre manière de penser. Il est donc intéressant de voir que lors du périple de notre existence, nous apprenons de nos erreurs ou regrets et ceux-ci peuvent se transformer en remords. Ce qui signifie qu’effectivement nous tirons des leçons, notamment, de nos mauvaises expériences et ces dernières peuvent nous faire douter de nos rêves que nous croyons alors impossibles à réaliser. Nous pouvons perdre tout intérêt pour de nouveaux sujets par peur d’être déçu ou à cause des nombreux doutes que nous nous faisons nous-même du fait de nos différentes expérimentations. Suite à cela nous pouvons penser que l’expérience nous fait perdre notre insouciance et notre curiosité. Cette indifférence créée, envers la vie, entrainerait donc notre vieillesse d’esprit et par conséquent l’énergie et notre excitation de la jeunesse disparaitraient. Le recul et les doutes sur l’existence ne font qu’entretenir le désespoir et le pessimisme, ce qui nous fait perdre l’insouciance et le positivisme de la jeunesse. Cependant sommes-nous perpétuellement obligés de tirer des leçons pessimistes sur nos expérimentations ?

En effet, je pense que le positivisme est une grande qualité de la jeunesse et cette manière de voir les choses n’a pas de restriction d’âge. Le positivisme permet, effectivement, de tirer des leçons sur nos expériences mais sans douter ou être déçu par la suite. Il contribue au fait d’être toujours plus émerveiller par de nouveaux sujets, d’avoir envie d’expérimenter et d’être toujours plus curieux de la vie et ce qu’elle entraine. Nous pouvons décider de garder notre esprits insouciant grâce à la volonté de toujours découvrir de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences, que se soit en sport, en art ou dans un domaine qui nous est totalement étrangé. La jeunesse n’est qu’une perpétuelle envie de découvertes et de rêves.

Lorsque nous pensons au fait d’être jeune, il peut être commun de se faire l’idée de jeune gens qui, par exemple, suivent la mode et les tendances du moment, ou encore qui sont à la pointe de la technologie informatique et sortent le soir en boite de nuit ou dans des bars. Cependant la jeunesse ne se résume pas qu’aux actes ou à une manière se s’habiller et consommer. Être jeune signifie aussi avoir toujours envie de découvrir davantage de sensations ou d’émotions, et cela souvent en fonçant tête baissée. Cette insouciance et cette curiosité sont des éléments clé de la jeunesse et nous remarquons que ces deux éléments sont des façons de penser qui se produisent grâce à notre mentalité. Nous ne parlons, alors, plus de période de la vie car ceci peut se passer à tout moment dans une vie. Nous pouvons toujours découvrir de nouvelles choses. Prenons l’exemple de quelqu’un qui souhaite explorer le monde et assouvir sa soif de curiosité grâce à de nouvelles cultures. Cette envie sera souvent associée à une personne dites jeune, par exemple une vingtaine d’année. Cependant ce désir de découverte et d’émerveillement peut durer plus ou moins longtemps suivant les personnes et ne se limite donc pas à une tranche d’âge. Un adulte de cinquante ans n’est plus considéré comme jeune dans notre société mais il peut tout autant être passionné par les voyages car ceci lui ouvre de nouveaux horizons. Il a donc le même esprit de jeunesse qu’un individu de vingt ans avec qui il partage cette mentalité. Cet esprit peut être impacté pas l’entrée dans la vie active et le vécu de la personne qui en déçois certains et leur font perdre leurs rêves et leurs idéologies de la vie. Malgré tout, une personne peut toujours, par exemple vingt ans plus tard, avoir la volonté de reprendre goût à la vie et retrouver ce même positivisme qu’à ces dix-neuf ans et de ce fait retrouver des intérêts pour de nouvelles choses et cette sensation d’émerveillement grâce à sa curiosité.

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