DISSERT QUESTION DE L'HOMME
Dissertation : DISSERT QUESTION DE L'HOMME. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jositarmy • 6 Avril 2016 • Dissertation • 683 Mots (3 Pages) • 2 083 Vues
Les écrivains, au long de l’histoire n’ont cessé de s’interroger sur ce qu’est un homme, quel est sa place dans l’univers, et quel est son caractère s’il est bon ou mauvais. Lorsqu’ils réfléchissent sur l’homme, reviennent toujours sur les mêmes questions essentielles. Qu’est-ce que l’homme ? Existe-t-il ‘’un’’ homme ? Qu’en est-il de cette condition des hommes ? Existe-t-il des valeurs universelles ? La lecture des textes antiques et les grandes découvertes donnent naissance à une nouvelle vision de l’homme, au centre des préoccupations humanistes. Nous nous d’émonderons en quoi la question de l’homme est-elle un sujet fondamental de toute littérature ? Dans un premier temps nous analyserons le rôle de l’homme dans la littérature, de comment les écrivains mettent l’homme dans ses textes. En fin, le rôle de la littérature, le pourquoi de ses textes.
Premièrement, nous expliquerons comment les écrivains placent l’homme dans ses textes, et comment il exprime ses propres sentiments à travers ses personnages. Par exemple dans le texte de Voltaire, Femmes, soyez soumises a vos maris, il exprime ses sentiments égalitaires entre homme et femme, représentes a travers son personnages Madame de Grancey. Elle fait une comparaison entre le rôle de la femme et de l’homme dans la société. La femme est vue comme un être inferieur a l’homme et son rôle est obéir comme une esclave.
Deuxièmement, le lecteur s’identifie avec les personnages crées par l’auteur, on exprimant les problèmes, les valeurs et antivaleurs universelles de l’homme. Par exemple, dans le texte d’Olympe de Gouge, déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, préambule 1791, l’auteur nous montre la réalité, le rôle et les soucis d’une femme qui se révèle a la pensée machiste de l’époque.
En fin, la littérature représente la vie même. le rôle, les sentiments, les questions universelles et les problèmes de l’homme comme centre de l’existence. La littérature est comme un miroir de la vie représenter par le personnage l’Homme. Dans le texte Les misérables de Victor Hugo, l’auteur nous montre une prise de conscience sociale et politique. Il nous fait voire les injustices de son époque. C’est une forme de nous faire réagir, a chercher, a devenir des meilleurs personnes.
Finalement, nous expliquerons le pourquoi de ses textes, le rôle de la littérature. Tout d’abord, la littérature comme une façon de divertissement. L’homme cherche d’évader sa propre réalité en vivant a travers la littérature, a travers les expériences, les aventures, les souffrances des personnages des textes, c’est une façon de vivre une réalité différente a la sienne a travers les personnages des récits qu’ils lisent. Dans le texte de Pascal, Pensées, l’écrivain signale que l’homme ait peur a la solitude et qu’il ne sait pas trouver le plaisir en s’isolent.
Puis, la littérature a le rôle de faire réfléchir l’homme a travers les récit écrits par les auteurs, quand un écrivain critique ou dénonce, l’attitude, le comportement d’un personnage ou critique la société, il fait que le lecteur réflexion sur sa propre condition. Par exemple dans le texte Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes de Jean-Jacques Rousseau, il fait une critique qui compare le bon sauvage et l’homme de l’époque.
En fin, grâce a la réflexion de l’homme a travers la littérature, il y a une amélioration de leurs vie. L’homme réfléchit et cherche la manière d’amélioré leur vie. On cherche une définition de la societé idéale, Utopie ou il existe du respect entre les hommes, l’affirmation des valeurs universelles, la sociabilité, le bonheur, l’esprit critique d’un homme libre armée de raison, qui pense par lui-même, tolèrent, qui aime la paix et les progrès de la connaissance. Un homme qui apprend de l’autre, et de soi même et des coutumes qui constituent l’humanité. Par exemple Montaigne dans ses Essais il dit que il faut apprendre de l’autre, l’impotence de l’autre.
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