Cultur
Commentaire de texte : Cultur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar natha • 19 Juin 2015 • Commentaire de texte • 445 Mots (2 Pages) • 690 Vues
Premier mini-thème : la place de l’Autre
Avant de bâtir son identité, il faut avoir rencontré l’Autre pour pouvoir s’en démarquer : cas de l’exposition universelle pour les Belges (doc 1). Ce n’est pas ce qui s’est passé pour les Italiens qui, de ce fait, vivent dans une constante peur de l’étranger et de ses aliments (doc 3).
Second mini-thème : la place des produits locaux
Même s’ils existent, ils ne sont pas déterminants, car on mange souvent des plats communs à plusieurs nations. Plus couramment, il s’agit d’adapter à la mode locale une recette étrangère par diverses astuces : bière à la place du vin pour les Belges ou appellation couleur locale (doc 1). En France, les produits comptent : ils sont variés et de bonne qualité car sols et micro-climats diversifiés (doc 2). La charolaise, fleuron de notre élevage (doc 4).
Troisième mini-thème : la place des hommes
Ils jouent un rôle déterminant (docs 1 et 2). On trouve les restaurateurs en duo avec les clients, les écrivains et les commerciaux (doc 1). Les produits français sont très améliorés par le travail des hommes (savoir et traditions), rôle des écrivains, des grands chefs et rôle des politiques : deux labels (doc 2). Label AOC rappelé sur le béret (doc 4).
Quatrième mini-thème : rôle des stéréotypes
En fait, une identité culinaire nationale n’est solide que lorsque les étrangers au pays concerné sont capables de citer au moins un stéréotype en matière de cuisine (doc 1). Pour la France : pain, vin, fromages (doc 2), béret et charolaise (doc 4). Pour la Chine, tresses et chapeau pointu (doc 4).
B. Second grand thème : les répercussions d’un identité alimentaire
Premier mini-thème : effets positifs sur l’économie
Effets rapidement mentionnés par le doc 1. Pour le doc 2, fortes retombées en matière de chiffre d’affaires autour des métiers de bouche et beaucoup d’emplois générés. Un patrimoine culinaire riche engendre un fort attrait touristique.
Second mini-thème : retombées culturelles positives
Grand rayonnement de la cuisine française. Charisme des grandes toques. Stages des chefs étrangers dans nos écoles et nos cuisines (doc 2). Beaucoup d’échanges qui enrichissent encore la France.
Troisième mini-thème : les effets pervers
En Italie, pays peu ouvert, les querelles de paliers tournent autour des odeurs de cuisines non CEE ; Un maire a interdit l’implantation de restaurants ethniques dans le centre de sa ville et il a reçu le soutien d’un ministre (doc 3). En France, il y a une certaine méfiance, voire un dégoût prononcé face à un produit brut « exotique » (la vache chinoise) et des préparations made in USA (le hamburger). On craint aussi l’entrée sournoise de denrées étrangères plus ou moins contrefaites (la vache chinoise infiltrée dans un concours agricole) (doc 4).
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