Corpus sur le quiproquo au théâtre
Étude de cas : Corpus sur le quiproquo au théâtre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lice_yet • 3 Janvier 2018 • Étude de cas • 829 Mots (4 Pages) • 3 461 Vues
C’est deux extraits de pièce de théâtre sont de diverse époque. Le premier extrait est de Molière qui fait partie du mouvement classicisme, l'extrait est tiré de son œuvre L'école des femmes datant de1663. Le second est de Marivaux qui fait partie du mouvement du siècle des lumières, l'extrait est tiré de la pièce Le jeu de l'amour et du hasard datant de1730. Dans le premier extrait qui est la parti de l'acte I scène 4 on peut lire que Horace confie son amour naissant pour Agnès à Arnolphe, sans savoir que ce dernier prévois d'épouser Agnès. Dans le second extrait de l'acte I scène 7 Silvia et Dorante sont nobles et leurs parents veulent les marier chacun souhaite connaître la vrai personnalité de l'autre, ils décident donc de se faire passer pour des domestiques pour s'observer mais ils ignore avoir eux la même idée. Quels sont les enjeux et les effets du quiproquo dans ces deux textes?
Au théâtre un quiproquo est un malentendu concernant une personne ou un sujet, utilisé pour créer une situation comique.
Dans la pièce de Molière le quiproquo a lieux sur le faite que Horace ce confit sur son amour à Arnolphe sans savoir qu'il a une double identité et qu'il est aussi M. de la souche le tuteur de Agnès et qu'il est amoureux lui aussi d'Agnès. Arnolphe dans L'école des femmes ne sachant pas de qui parle Horace est réceptif et non suspicieux, on peut le voir par exemple dans la l'aparthé décrivant ce que fait Arnolphe «riant», il est amusé par la situation. Puis à l'annonce du nom d'Agnès, Arnolphe n'a plus les mêmes réactions. L'effet comique du au quiproquo apparaît selon moi au moment ou Horace annonce le nom de la personne qu'il aime, dans l'aparté vers 328 et 333 il est marqué que Arnolphe parle «à part» et dit «Ah! Je crève!» et «La fâcheuse pilule». Et cela ramène à un comique de situation car la réaction (surprise) d'Arnolphe peut être considéré comme drôle et donc faire rire le lecteur ou le public si c'est une représentation théâtrale, car il y a eu un malentendu car Arnolphe ne s'attendait pas à ce que la fille soit agnès.
Dans la pièce de Marivaux le quiproquo ce produit au moment ou étant déguisés en domestique Silvia et Dorante se rencontre sans ce rendre compte réellement de qui ils ont en face d'eux.Cela mène au comique de situation le lecteur ou le public si c'est un représentation peut trouver ça drôle le faite qu'il essaie de se prendre pour ceux qui ne sont pas étant donné que le public connaît leur vrai identité, et ils n'y arrivent pas vraiment puisqu'ils exagère dans leur manière. Dans les aparté on peut voir réellement ce qu'il pense, donc il peut y avoir une contradictions entre ce qu'ils disent et ce qu'ils pensent qui peut être drôle. Le faite que à plusieurs reprise Silvia menace de partir ligne 99 «Faudra-t-il que je te quitte?», «Adieu» mais fini par rester peut aussi créer une scène comique.
Dans L'école des femmes, ce confiant à Arnolphe, Horace à été imprudent et ne ce rend pas compte du risque. Car Arnolphe étant amoureux d'Agnès ce méfie maintenant de d'Horace ligne 364 «jusques à m'éclaircir de ce que je
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