Corpus entrainement
Dissertation : Corpus entrainement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lea23lea23 • 27 Mai 2019 • Dissertation • 469 Mots (2 Pages) • 469 Vues
Corpus entrainement
Le corpus que nous allons étudiés est constitué de 3 extraits de romans qui nous exposent des scènes de meurtres. Le premier texte un extrait de Thérèse Raquin d’Emile Zola écrit en 1867, le second est un extrait de la Bête humaine d’André Malraux écrit en 1933 et enfin le dernier texte est tiré du roman d’Albert Camus, l’Etranger publié en 1932.
Dans cette question de corpus nous nous demanderons comment la description de la nature intervient-elle dans ces trois extraits de roman ?
Nous commencerons par étudier les textes A et C qui montre la nature chaleureuse face au crime puis dans un second temps nous nous concentrerons sur le texte B qui lui met en avant une nature qui essaie de repousser le meurtre en mettant en scène une nature angoissante.
Tout d’abord, nous remarquons que la nature n’occupe pas la même place dans tous ces extraits de roman. En effet, dans le texte d’Albert Camus on remarque une description très précise de la nature notamment avec une description des couleurs, « rougeâtre » , »blanchâtre », « brun »…
Cette description essaie de faire voir une mort violente et très violente qui donne un cote dramatique a cette scène ainsi qu’un côté triste. Ensuite le champs lexical de la mort et de l’obscurité met en évidence une nature qui ressent la mort arrivé comme par exemple avec « brouillard laiteux ». Contrairement à ce texte les deux autres textes font une description moins précise, dans le texte d’André Malraux nous n’avons qu’une seule information du lieu ou se déroule le meurtre avec le nom « building » à la ligne 6 . En comparant les deux paysages ont remarque que La condition humaine , se déroule dans un paysage urbain comparer au deux autres textes qui se déroulent dan un paysage rural . Pour finir , dans l’extrait de Thérèse Raquin , on assiste à une description de la nature « se dressait un grand massif » suivie d’une personnification « les rayons palissent un air frissonnant , les arbres vieillis jettent les feuilles » .Pour finir , on remarquera que les texte d’Emile Zola et d’Albert Camus décrive une lumière provenant du soleil contrairement au texte d’André Malraux qui écrit une lumière provenant du building donc qui est une lumière artificielle
En conclusion, les texte d’Emile Zola et d’Albert Camus décrivent une nature rurale très violente qui est chaleureuse face aux crimes contrairement au texte d’André Malraux qui montre une nature contraire au meurtre .
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