Corpus de texte sur la ville

Les documents qui composent le corpus sont : L’éducation sentimentale écrit par Gustave Flaubert en 1869, l’Assommoir fait par Emile Zola en 1877, Voyage au bout de la nuit crée en 1932 par Louis Ferdinand Céline et Désert écrit par Jean Marie Gustave en 1980. Nous allons nous intéresser aux aspects de la ville mis en valeur dans ces quatre descriptions.

Tout d’abord, nous trouvons une description triste et péjorative de la ville.

En effet, dans le texte de Emile Zola la rue qui borde l’hôtel est sale et occupée par une odeur insoutenable : « avec des persiennes pourries par la pluie », « dont la moisissure du plâtre », une odeur de fauve de bêtes massacrées. » il en est de même pour le texte de Jean Marie Gustave Le Clézio. Nous retrouvons cette idée de puanteur (l.6) : « c’est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues ». L’idée de mort est omniprésente dans ce texte avec le champ lexical de la mort : « froid, mort, tombeau, peur. » mais aussi à ligne 18 : « si c’était un tombeau ». Les maisons de la ville sont décrites avec une façade ressemblant à une prison (l.10) : « fenêtres garnies de barreaux, parce qu’elle croit que c’est une prison. »

Mais, nous avons une description d’un ville plus animée et méliorative.

En effet, dans l’éducation sentimentale, la rue semble plus vivante et plus joyeuse « il regarde défiler la ville », « on croisait des tombereaux, des cabriolets, des omnibus ». L’environnement de semble plus accueillant : « ce bon air de Paris qui semble contenir des effluves amoureux et des émanations intellectuelles ». Aussi dans Voyage au bout de la nuit qui se situe à Broadway et à Manhattan (le quartier pour l’or).

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