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Corpus: Que peut on dire dans ces trois textes de la relation entre maîtres et valets?

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Par   •  31 Mars 2017  •  Commentaire de texte  •  392 Mots (2 Pages)  •  1 069 Vues

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Les trois textes qui nous sont présentés sont des textes théâtral portant tous sur la relation maître-valet à des époques différentes. Tout d'abord il y a un texte de Plaute qui s'intitule La Marmite et qui est paru en 254-184 av JC. Ensuite un texte de Marivaux qui fut publié en 1725 et qui se nomme L'île des esclaves. Le dernier texte En attendant Godot de Samuel Beckett fut paru en 1952.

Nous allons donc traiter ces trois textes en regardant ce que l'on peut dire de la relation entre les maîtres et les valets au fil des siècles.

Dans les trois textes l'on voit distinctement que les maîtres ont le pouvoir sur les valets et qu'ils n'ont pas beaucoup de respect pour eux, par exemple dans le texte A « Il faut qu'une misérable de ton espèce ait ce qu'elle mérite, un sort misérable. ». Mais, on voit quand même une évolution au fil du temps. En effet, dans le premier texte le maître est méchant et l'on voit clairement qu'il a le pouvoir sur sa servante et qu'il décide ce qu'il veut « Qu'es qu'il a donc à me chasser dix fois par jour de la maison ? » (parole de la servante). Dans le texte B, qui fut paru beaucoup plus tard, le maître n'a toujours pas de respect pour le valet mais celui ci décide de se révolter, c'est l'époque de la révolte des esclaves « […]on va te faire esclave à ton tour ; […] ». Dans le troisième et dernier texte l'on remarque que Pozzo le maître de Lucky ne le respecte pas et n'a aucune pitié pour lui mais d'autres personnes comme Vladimir et Estragon essayent de lui venir en aide et sont plus sensible aux sort de l'esclave « -Il pleure » « -Essuyez lui les yeux » et il va lui essuyer les yeux. Mais celui-ci, aillant l'habitude d'être mal traités va lui donner un coup de pied, Estragon va alors le traiter de tous les noms « Le salaud ! La vache ! »

Au fil des années l'esclavage à toujours existé et les maîtres ont eu le pouvoir sur les valets, servantes, esclaves… Mais petit à petit au fil du temps, l'on voit que les esclaves ont commencé à se révolter puis que des personnes ont commencé à avoir pitié d'eux et à être compatissant. La relation maître-valet a évolué et continue à évoluer.

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