Commentaire la dernière rencontre, l’éducation sentimentale (1869) de Flaubert, livre 3, chapitre 6
Commentaire de texte : Commentaire la dernière rencontre, l’éducation sentimentale (1869) de Flaubert, livre 3, chapitre 6. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mimidu91 • 6 Mai 2018 • Commentaire de texte • 913 Mots (4 Pages) • 7 054 Vues
Lecture analytique 7 : la dernière rencontre, l’éducation sentimentale (1869) de Flaubert, livre 3, chapitre 6
Introduction :
Gustave Flaubert (1821–1880)
Maître du réalisme
Goût de l’observation méticuleuses et objective
Exaltation romantique de sa génération
Influencé par Chateaubriand
Roman :
Cinq années de recherche et de rédaction
Personnage principal, Frédéric Moreau
Flaubert retrace à travers l’histoire de Frédéric jeune bachelier entrant dans la vie parisienne sa propre vie et sa passion pour Elsa Schlésinger.
Roman d’apprentissage–confrontation de la réalité aux idéaux sentimentaux artistique, et politique
L’extrait :
Avant dernier chapitre du roman
Madame Arnoux rend à Frédéric I dernière visite, 16 années après leurs précédentes rencontres.
Problématique
Comment les retrouvailles exalter des deux amants se conclut par une froide séparation qui illustre le réalisme du roman ?
Plan :
1) Une scène de retrouvailles
2) Une froide séparation
1) Une scène de retrouvailles
A) Le récit des souvenirs idéalisés
Les retrouvailles de Frédéric et Madame Arnoux sont l’occasion de se remémorer les souvenirs d’un passé qui semble parfait.
D’abord narrativisé (Résumé sans préciser), le dialogue recréer toute une époque par une énumération des « anciens jours » L.1 qui mentionne des détails insignifiants comme « d’autres choses plus intime est plus profonde » L. Deux périphrase qui voilà les sentiments de Frédéric et Madame Arnoux.
Ces souvenirs cause aux anciennes amies une forte émotion, perceptible dans la ponctuation expressive des répliques (phrases exclamatives Inter jonction « oh » L. 17) et dans l’emploi du discours indirect libre qui fait entendre l’ardeur de Frédéric : « quel ravissement …. A st-Cloud ! » L.3
Pour les deux personnages, c’est un passé idéalisé qui apparaît dans le début du texte : Frédéric semble avoir conservé des souvenirs vif et précis : « elle s’étonnais de ma mémoire » L. Six, mais ils sont plus vagues pour madame Arnoux(Comparaison à « en échos lointains » et « Son d’une cloche apporter par le vent » L.7) qui les mêles à ses impressions de lecture (« Il me semble que vous êtes là quand je lis des passages d’amour dans les livres » L.8)
B) La nostalgie de vieux amis
Le rappelle des souvenirs embellis laisse peu à peu place un sentiment empreint de nostalgie, Exprimée par l’oxymore « pauvre cher ami ! » L. 11 et les soupirs de Madame Arnoux L.12
D’eux-mêmes le plaisir commun de la mémoire est atténuée par des désaccords « sans nous appartenir, pourtant » L.14, « Non ! Non ! » L. 16
Cette nostalgie est inspiré par une impression
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