Coïncidences, nos représentations du hasard

Maitre de conférences en sociologie a l’université paris-IV Gérald Bronner a publié de nombreux articles scientifiques et plusieurs ouvrages dont le « Qui-sais-je » sur l’incertitude.

Et c’est en s’appuyant sur des recherches plus récentes que l’auteur nous conduit dans le domaine des coïncidences et de leur interprétation par la logique ordinaire. Il sortira alors « coïncidences, nos représentations du hasard », livre qui présente d’innombrable évènements qui a première vue ont l’air d’être de simples coïncidences. Mais alors, faut-il croire à ces coïncidences ou les ignorer car ce ne sont que le fruit du hasard ? en effet, d’après l’auteur un esprit purement rationnel regarderait comme des simples coïncidences. Seulement nous ne sommes pas des êtres purement rationnels.

Dans la première partie l’auteur énonce sa thèse.

Dans la seconde partie il évoque les conséquences de la thèse

Suivi d’arguments pour cette dernière partie.

I. Thèse et problématique/

Bronner introduit sa thèse en citant des proverbes qui vont à premiere vue à l’encontre de celle si tout en justifiant pour quelles raisons il est en désaccord mais en approfondissant ce désaccord on parvient à sa these. Il commence directement à nous dire que la citation suivante ne doit pas être prise en considération. « citation » Car celle-ci a un sens négatif et pas motivant or l’auteur explique qu’elle a un deuxième sens qui est l’introduction au thème du texte, le hasard. Cela nous met directement dans le bain. On connait le point de vue de l’auteur et on est prêt à écouter ses justifications. Pour expliquer le deuxième sens de la citation qui est les périodes de malchances il donne des exemples liés à celles-ci qui paraissent absurde pour certains lecteurs. Et c’est ce qu’il cherche pour pouvoir raisonner avec une idée un peu plus concrète. C’est en citant un nouveau proverbe qui s’apparente au premier qu’il explique le lien qu’ils ont en commun. Il fait une sorte d’analyse synthèse pour revenir au cas général qui ici est la loi des séries. Il explique que cette loi est toujours utilisée par les médias les plus officiels. Pour nous montrer que même la presse qui est justement certifié utilise des méthodes de rédaction pareille. Alors il finit en expliquant le cas général sans donner d’exemples et en reformulant avec ses idées. Cette explication est sa thèse.

II. Conséquences de la thèse

L’auteur alors décortique la loi des séries. Il nous donne tous les moyens pour comprendre comment elle fonctionne. Il commence par expliquer l’effet de groupe en citant des exemples pour plus de compréhension, de concret. C’est après les exemples qu’il annonce le début de son argument qui est le principe des probabilités. Cette annonce est une sorte de mise en bouche pour la suite du texte car il ne faut pas se précipiter la loi des séries n’est pas tout à fait décortiqué. Il enchaine alors sur le principe de focalisation d’un évènement pour le rendre plus important et plus fort alors que celui-ci est sur la durée. Il dénonce alors le pouvoir de la presse en général à focaliser notre attention

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