Charles Cros / Le Collier de griffes
Commentaire de texte : Charles Cros / Le Collier de griffes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fl0000re • 6 Janvier 2022 • Commentaire de texte • 653 Mots (3 Pages) • 1 181 Vues
Durant le 20eme siècle, le poète Charles Cros est l'auteur de l’œuvre étudiée : Le Collier de griffes. Ce recueil a été écrit en 1908, il résume les sentiments que ressent Charles Cros vis à vis au reste du monde entier. Le poème que nous allons analyser est Tendresse de la section posthume. Ce poème symboliste est composé de 2 quatrains et de 2 tercet, le rythme est embrassé.
Nous allons nous demander en quoi les sentiments que ressent Charles Cros par rapport au reste du monde est a la fois positif et négatif ? Dans un premier temps nous aborderons l'aspect négatif de ces sentiments et enfin nous évoquerons l'aspect positif de ces sentiments.
Pour commencer, les verbes issus de ce poème sont conjugués au présent pour exprimer son ressenti quotidiennement puisque le présent est utiliser pour parler d'un événement ou autres qui se déroule a un moment ou l'on s'exprime. A la première strophe, au premier vers, l'auteur utilise une « métaphore » « Pleurant alors que c'est la fête », ici le nom « fête » est utilisé pour exprimé un sentiment de gaieté, et notamment le monde, le procédés que j'ai cité est contradictoire car « pleurant » qui est symbolisé comme le sentiments de Charles Cros, ce sentiments qui est l'opposé du mot « fête ». Ensuite, au deuxième vers nous relevons un discours direct « Les gens disent : Comme il est bête ! », cette citation montre l'avis négatif des personnes sur Charles Cros. A la deuxième strophe, au premier vers, nous avons une autre « métaphore » qui est « Dans l'usine je suis poète ; », cette citation exprime le fait qu'il soit différent du monde puisque « usine » et « poète » n'ont pas de lien ou d'élément en commun.
Ensuite, le pronom personnel « Moi » placé au premier vers, au premier quatrain est appliqué car le poète, se sent écarté du reste du monde. Ensuite le deuxième pronom personnel « je » se situe suivis du pronom personnel « Moi », puis il insiste avec « la » de « la vie » au premier vers qui désignent un sentiment de solitude, en effet on peut prétendre qu'il se démarque des autres. On trouve une césure de la citation « En somme, je suis mal côté » entre « En somme » et « je suis mal côté » qui marque un temps de pause pour atténuer une révélation violente qui est ici le fait qu'il est éloigné du reste du monde. Après, la citation « J'allume du feu dans l'été » démontre son mal imposé dans la joie des autres puisque le feu est l'un des symbole du mal puis l'été fais référence au « bonheur ».
Malgré cet aspect négatif, Charles Cros détient tout de même un aspect positif similaire avec le reste du monde. En effet, on relève une césure entre « Qu'importe ! » et « J'aime la beauté. » sachant qu'avec le procédé « Qu'importe ! » il veut exprimer qu'il porte peu d'importance mais avec « J'aime la beauté » le poète nous relève une nouvelle information positive sur le poème qui équilibre avec le côté négatif.
Ensuite, on voit une anaphore sur le mot « beauté » qui permet d'accentuer son adoration pour la beauté. Les 3 vers suivant
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