Bestiaire de Baudelaire
Analyse sectorielle : Bestiaire de Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar uhiufg • 24 Novembre 2019 • Analyse sectorielle • 999 Mots (4 Pages) • 1 369 Vues
intro: Le thème des animaux, de par sa possibilité de symboles multiples qui changent selon les époques et la perception du lecteur et de par sa présence depuis des siècles dans le monde versifié et de par les vices et les défauts que l’on peut dissimuler derrière les bêtes est devenu peu à peu essentiel à la poésie, faisant des animaux les éléments d’un répertoire poétique. Nous avons alors étudiez la place et surtout la figure des animaux dans le recueil des Fleur du Mal de Charles Baudelaire. Tous les animaux n’ont pas la même valeur pour Baudelaire en effet le Chat et celui dont la place est la plus importante dans l’univers de Baudelaire c’est Pourquoi nous allons d’abord voir la place figure des animaux le long du recueil des fleurs du mal. Ensuite nous verrons La figure et place du Chat.
Le poème « l’Albatros » nous présentent des Albatros humiliés et maltraités par des marins. Cette apologue est divisé en quatre strophe la dernière nous invite à relire le poème en effet elle nous dévoile la vrai identité de l’Albatros qui est donc la figure du poète. Nous montrant alors l’inaptitude du poète à s’adapté aux réalité ordinaire, le faisant alors souffrir de solitude car exclu de la société.
Le poème « le cygne », issu de la section « Tableaux Parisien ». 4 ème poème de cette section entame une série composée de trois poèmes dédiés à Victor Hugo Charles. Baudelaire dans ce poème comme dans le reste de la section a voulu montrer les changements de la ville de Paris. Charles Baudelaire se sert du cygne pour nous montrer un mal du pays soit une nostalgie de son ancien Paris et une difficulté à s’adapter à un nouveau décor.
Le poème « le hiboux » est une fable d’une apparence simple ne se contentant pas de préceptes moraux destinés à bien vivre. Elle s’insère dans le projet philosophique et spirituel du recueil des Fleurs du mal. Les hiboux, animaux peu célébrés en poésie, sont ici montrés sous des aspects énigmatiques, vaguement inquiétants, retirés du jour et du monde. Ils sont désignés comme des modèles pour l’homme car ils savent rester à leur place, se réservant d’agir dans l’ombre qui est leur domaine et qui est aussi le monde des idées, loin du tumulte vain du "divertissement" et se gardant d'empiéter sur l’Inconnu.
Dans ce poème les hiboux ont une figure de Dieux comme nous le fait comprendre la comparaison au 3ème vers « ainsi que des dieux étrangers » . Ils sont valorisés par leur aspect sage et de leur attitude méditative le long du poème.
Les hiboux peuvent aussi avoir une figure de medium
Le medium étant l'intermédiaire entre le monde matériel et le monde spirituel, celui qui possèderait des aptitudes particulières pour entrer en contact avec le monde des esprits, se trouvant au milieu de ces deux univers pour les faire communiquer.
Enfin les Hiboux représentent l’exemple que devrait suivre l’Homme qui court après les plaisirs éphémères, mais qui n'échappera pas à sa condition.
Serpent: Dans son poème le serpent qui danse Charles Baudelaire, fait un éloge au corps de la femme et par le biais de cette description fragmentée du corps de la femme s’établit une déclaration amoureuse. Le corp
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