A New York Leopold Senar Sanghor
Commentaire de texte : A New York Leopold Senar Sanghor. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar erine97480 • 27 Mai 2022 • Commentaire de texte • 994 Mots (4 Pages) • 722 Vues
Explication linéaire
poème: A New York de Léopold Sédar SENGHOR
Problématique: Comment passe t’on de l’émerveillement à la déception dans le poème?
Introduction: Ce poème parut en 1956 est issu du recueil Ethiopiques de Léopold Sédar SENGHOR, qui était un écrivain, un poète et un homme politique sénégalais
Le shema des rimes est irrégulier dans ce poème, le poème est en vers libre et ne contient pas de strophe on appelle cela un poème en vers libre, on pourrait relier cela à notre parcours qui est la modernité poétique
TITRE: s’adresse à New York? Ou une destination? 2 mystères → titre polysémique (plusieurs sens possibles)
la parenthèse dessous: le jazz → musicalité de l’époque, apporte au poème une dimension musicale
VERS 1: Mise en relief de New York ← apostrophe car c’est une ville mythique
! → montre l’admiration face à NY
ponctuation forte/expressive → montre son excitation
Le «d’abord» c’est sa 1ere impression, au 1ere abord → laisse penser qu’il y aura un ensuite et que plus loin il y aura un changement dans le poème
«j’ai été confondu» → il est envoûter (charmer, subjuguer, déstabiliser)
lyrisme car je+ sentiment perso
«ta beauté» → nom élogieux, tutoiement(effet de proximité): personnification de la ville
il décrit la ville comme si il s’adresse à une femme
«ces grandes filles d’or aux jambes longues» → métaphore, peut faire penser au gratte ciel? Ou au américaines?
VERS 2: «si timide» → insistance
«tes yeux» ville tutoyée (voir v1)
Personnification de la ville
Champ lexical du corps humain et évocation du froid «métal bleu» (couleur froide) et «givre»
VERS 3: répétition/anaphore car on retrouve encore «si timide» → montre que la ville est intimidante
Il est ébloui par le gigantisme de la ville, ça l’angoisse
«au fond des rues à gratte-ciel» → visite guidée de NY
→ le 1er abord de la ville est froid et impressionnant d’où l’anaphore. Le poète est impressionné par NY
VERS 4: Champ lexical du ciel «levant tes yeux» et «l’éclipse du soleil» → comme une sensation d’écrasement tellement la ville est éblouissante par sa grandeur
«yeux de chouette» → impression d’être observer, étouffer ou de curiosité du poète face à NY → l’éblouissement face à la ville
VERS 5: allitération en F et en R → montre la musicalité du poème
Connotation à la mort ou la maladie «les fûts livides»
VERS 6: Impression de ville indestructible/ qui résiste à tout → «Les grattes ciels qui défient les cyclones»
+ encore le champ lexical du corps humain «muscles d’acier» et «peau patinée»
→ la ville paraît presque humaine, les bâtiments ont l’air blinder
Bilan 1ère strophe: Le poète fait l’éloge de la ville → montre toutes ses qualités
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