La vérité

Les gens disent souvent que «la vérité vient de la bouche des enfants». Cette déclaration ne signifie pas que tout ce que dit l'enfant est vérifiable et correct, mais que ses pensées ne seront pas «trompées» par l'envie de mentir ou de tricher. Nous pouvons lui accorder la vérité parce qu'il ne veut pas dire la vérité.

Cependant, même si l'enfant ne ment pas, il ne dira pas toujours la vérité, car il ne comprend pas tout. Il a exprimé sa conception de la vérité, qui est sa vérité personnelle.

Mais alors, une personne peut douter que ce soit une ou plusieurs vérités? La vérité est-elle personnelle ou transcendante? De même, est-il possible de reconnaître quelque chose? Si oui, pouvons-nous reconnaître les faits? Mais quelle est la vérité? Comment le reconnaissons-nous? Plus important encore, pouvons-nous reconnaître qu'il est méconnaissable? Ainsi, est-elle?

Par conséquent, nous verrons d'abord que la vérité est bien un pluriel, et qu'il est possible de la comprendre sous deux angles. De cette façon, il est possible de voir que la vérité est illisible. Enfin, nous verrons que les faits peuvent ne pas être reconnus, parce que les faits peuvent ne pas être reconnus. Bref, la vérité est-elle méconnaissable ou est-ce que nous nous rendons compte qu'elle ne l'est pas?

Partie1:

Y en a-t-il un avant même de se demander s'il est possible de réaliser la vérité? La vérité est-elle universelle ou tout le monde peut-il la comprendre? De même, la reconnaissance a-t-elle un sens? Devrions-nous savoir à l'avance ou est-ce juste un fait que nous savons à l'avance

En effet, le fait semble difficile à comprendre car il ne peut pas toujours être vérifiable. En effet, je pense que la bonne chose n'est pas la même chose qu'une autre personne. Par conséquent, les gens peuvent se demander si la vérité peut être individualisée. En effet, ma vérité peut être fausse, mais tant que je la considère comme la vérité, je peux dire que c'est la vérité. Pour certains philosophes, tout n'est que le résultat de nos pensées, en ce qui me concerne, quand je pense au monde, c'est ainsi que je le vois. De cette façon, ma vérité est suffisante pour me faire comprendre et avoir mes pensées. Bref, puisque je pense au monde, la vérité est dans mon esprit.

On peut aussi penser qu'il peut y avoir une vérité collective, qui est la suffisance de la collecte des pensées. Par exemple, le choix dans un système démocratique sera la vérité, car c'est un choix produit par le consensus de plusieurs consciences qui donnent la vérité aux choses. On peut dire une vérité de groupe parce qu'elle est acceptée par l'ensemble. Cependant, en philosophie, la vérité a été définie dans trois sens. Le premier est ce que dit saint Thomas dans son "Theological Digest": "La vérité est la suffisance de l'esprit et des choses". Pour lui, la vérité sera perceptive, alors voir quelque chose et ressentir quelque chose auquel je penserais lui donnera le statut de vérité. Bref, c'est ce que résume la fameuse formule «je ne crois qu'en ce que je vois». Le second sens donné à la vérité est logique. Par conséquent, tout ce qui est un objet

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