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Dissert

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Par   •  9 Novembre 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  980 Mots (4 Pages)  •  927 Vues

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  • Partie 1 : origine plurifactorielle

Cette étude de document nous permettra d’identifier les facteurs favorisant le développement du cancer.Nous montrerons alors, dans un premier temps l’origine plurifactorielle des cancers du poumons puis nous nous intéresserons au lien entre le cancer et l’infection virale et enfin nous expliquerons les effets de la fumée du tabac.

doc 2 partie 1 : On a cherché à trouver le lien entre le risque de développer un cancer du poumon et le nombre d’année de vie commune avec un conjoint fumeur.

  • Vivre longtemps avec un conjoint fumeur augmente les risques de développer un cancer de poumon.
  • -Le risque de décès par cancer pulmonaire augmente dautant plus que le taux de particules fines dans laire augmente.En effet, pour un taux de 22 μg/m³, le risque de décès par cancer pulmonaire est denviron 1,5.

CONCLU PART 1 : Ainsi, suite à l’étude de ces deux documents, nous avons remarqué une prédisposition génétique qui nous permet d’en conclure qu’il y a un risque plutôt élevé de développer un cancer en cas de parenté avec une personne atteinte. De plus, le comportement des personnes fréquentées influe aussi sur notre santé puisque nous avons vu que le risque de développer un cancer du poumon augmente selon le nombre d’années de vie communes avec un conjoint fumeur. Enfin, nous avons vu que la pollution atmosphérique jouait aussi un role puisque le risque de développer un cancer du poumon augmente aussi en fonction du taux de pollution de l’air.

PARTIE 2 : lien entre cancer et infection virale

  • Le document 3 nous montre que que le papillomavirus, dont il existe plus de 200 formes différentes, est responsable de l’infection sexuellement transmissible.
  • De plus, il nous est dit que chez la femme le cancer du col de l’utérus est un des plus meurtriers, touchant surtout les jeunes femmes. L’expérience établit dans ce document, pour vérifier s’il y a un lien entre le virus et le cancer du col de l’utérus, met en exergue cette relation. En effet pour le premier groupe témoin (femmes non touchées par le cancer) environ 80% des femmes ont répondu négatif à l’infection au virus et pour le second groupe, formé de femmes présentant un cancer du col de l’utérus, 80 % des femmes étaient infectées par le virus.
  • Mise en relation avec le doc 4 : Le document 4 nous indique que les cancers du col de l’utérus sont toujours associés au virus de type papillomavirus, ce qui nous renvoie à ce qu’on a conclu de l’étude du doc 3. On remarque alors qu’une une protéine virale, la protéine E6 se fixe spécifiquement sur la protéine p53 (la protéine p53 peut bloquer le processus de cancérisation surnommée «suppresseur de tumeur») et la détruit. Ainsi, on aboutit à la même situation qu’une tumeur ayant une protéine p53 mutée.
  • CONCLUSION PARTIE 2: Cette étude de ces deux documents nous a permis de découvrir un nouveau facteur de cancérisation. Désormais, nous pouvons affirmer que le virus papillomavirus a bel et bien une relation avec le cancer du col de l’utérus puisqu’une protéine virale, la protéine E6, arrive à détruire la protéine p53 ce qui entraine une mutation de la p53  et qui conduit alors à la formation d’une tumeur.
  • PARTIE 3 : effet du tabac
  •  Dans un premier temps, on peut voir que le tabac contient un composé s’appelant benzopyrène (toxique) modifié dans les cellules en BPDE, un composé qui peut réagir avec la guanine de l’ADN, qui ne pourra s’apparier que avec une adénine alors que normalement la guanine est plus complémentaire avec la cytosine.
  • EXPERIMENTATION AVEC DES SOURIS

De plus, en s’expérimentant avec des souris, nous pouvons voir que plus les doses de benzopyrène sont élevées, plus les souris ont des chances d’avoir une tumeur et plus la proportion de guanine sera modifiées par le BDPE.

En effet, pour une dose journalière de près d’1 mg de benzopyrène, 60% des souris présentent une tumeur et pour une dose journalière de 10 mg, 100% des souris présentent une tumeur.

ETUDE GRAPH 2

Dans un second temps peut voir dans ce graphique que plus la quantité de BDPE en μmol/L  dans les cellules en culture est importante, plus la proportion de guanines modifiées augmente. En effet, pour 5μmol/L, près de 13 guanines sont modifiées tandis que pour 20 μmol/L 40 le sont

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