Essai 2 cas1

DESCRIPTION DE LA SITUATION

Le centre maternel SOS MATERNITE accueille des jeunes filles en situation de grossesse précoce et de jeunes mères de 12 à 25 ans connaissant des difficultés sociales, affectives, scolaires, professionnelles, éducatives jusqu'aux six mois de leur bébé.

Depuis quelques années , les Jeunes femmes accueillies ont pour la plupart consommé ou consomment encore des produits addictifs avant d'arriver à la structure. Certaines fréquentent un compagnon qui consomme de I ‘alcool ou du cannabis, d'autres ont évolué dans une famille où I ‘un des parents^[a], sinon les deux consomment et ont fait de la consommation de produits illicites^[b], leur quotidien. A la connaissance de leur état de grossesse, certaines arrêtent leur consommation mais continuent à fréquenter les réunions de consommateurs sur les places publiques en compagnie de leur compagnon qui peut être ou non le père du bébé.

C’est le cas d’INGRIDE agée de 20 ans :

En discutant avec les résidentes du centre maternel, je m’aperçois que beaucoup d’entres elles parlent d’une certaine résidentes nommé ‘’INGRIDE’’ (confidentialité de la résidentes).

Elles sont toute contente à l’idée de revoir leur « camarades » du centre maternel.

Car Ingrid vient d’accoucher d’un petit garçon à la Maison de la Femme de la Mère et de l’Enfant.

Apres 1 mois d’hospitalisation, elle revient à S.O.S Maternité accompagner de son nouveau né , Ingrid alors âgée de 20^[c][d] ans donne naissance à William le 15 septembre 2018, il est âgé de 7 mois. William est donc un prématuré.

Ingrid enceinte de 7 mois^[e] est arrivé à la maison maternelle le 10 septembre 2018

Sa présence au sein du centre est du à la révélation tardive de sa grossesses(4 mois) ainsi que sa consommation de tabac.

Ingrid est une résidentes qui écoute, qui participe aux activité quotidiennes du centre mais présente une addiction qui nuit au développement de son fils prématuré. Elle consomme de^[f] la cigarette et quelques produits illicites qui menacent constamment l’environnement de William.

Sa consommation à proximité du nourrisson ne semble pas l’interpellé et ne la gêne pas. Elle décrit son fils comme « être aussi robuste et fort que son papa ».Certain soir elle sort tardivement^[g] et reste dans des lieux qui ne sont pas recommandé^[h] pour une jeune mère et son fils.

Ingrid affirme connaitre les risques et conséquences de son attitude et de sa consommation face à un nourrisson^[i] mais ne se sent pas dans l’obligation d’arrêter.

Il a été nécessaire d’en informer les professionnels et de mettre en place une intervention pour cette jeune ainsi que les autres résidentes du centre maternel.

LA DECISION DE L’EQUIPE EDUCATIVE

Après la réponse positive de l’agence régionale de santé pour la création de ce projet les professionnels ont mis en place une réunion regroupant la cheffe de service ,la cheffe de projet ainsi que les professionnels du centre maternel dans le but d’exposer le contenu^[j] le déroulement de l’action.

Cet échange eu un succès grâce à l’exposé de la situation et des conséquences causer par cette addiction. Ce projet qui fut impulser par la chef de service permis à tous les participants exposer^[k] leurs différentes observations lors des derniers mois

D’après la chef de projet cette mobilisation permis^[l] à chacun de donner son avis et de favoriser l’écoute active. Ce respect mutuel permis d’apporter une cohésion d’équipe facilité^[m] alors la compréhension de chacun. La chef de service ainsi que la chef de projet animait cette réunion et présentèrent de façon détaillée l’action dont^[n] le nombre de séances et de résidentes.

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