Dissertation : la désinformation
Commentaire d'oeuvre : Dissertation : la désinformation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hda_bnl • 8 Novembre 2022 • Commentaire d'oeuvre • 1 296 Mots (6 Pages) • 484 Vues
Dissertation : la désinformation
Selon une étude du MIT les fausses informations sont plus virales que les vraies.1 Nous allons nous pencher sur une question : Est-ce que la prise d’information uniquement sur les réseaux sociaux nous désinformerai ? Ayant lu le portfolio de Sciences Humaines sur la désinformation ; nous allons répondre à la question.
Tout d’abord, la fake news (en français infox) désigne une fausse information. De nos jours elle pullule sur les réseaux sociaux. certaines personnes diffusent des canulars sur les réseaux sociaux pour pouvoir encaisser de l’argent suite à des publicité ou tout simplement générer du trafic sur des sites. Nous avons eu l’exemple concret de Donald Trump qui stipule dans un tweet une affirmation que le pape le soutient. Ce tweet fu viral mais celui-ci est mensonger car Trump s’est fié à une source non-fiable ; la source fut un prénommée Paul Horner.2 c’est pour cela que nous recevons de fausse information.
Ensuite, la propagande est « un effort organisé pour propager une croyance ou une doctrine particulière », il est beaucoup utilisé en politique et il développe la censure des faits susceptibles d’affaiblir les dirigeants3. Si la Corée du Nord ne pratiquait pas la propagande et ne censurait pas l’utilisation des réseaux sociaux, les coréen se rebelleraient contre le pouvoir mis en place4. À cause de la censure nous n’avons pas en notre possession toutes la vérité.
Enfin, le deep fake (en français hypertrucage) est un procédé qui permet de modifier l’apparence/la voix d’une chose5. Il est beaucoup utilisé dans les publicités de cosmétique,… l’apparence des femmes ont été modifié et elles paraissent magnifiques grâce à ce produit or qu’il n’en ai rien et cela entraine une masse de gens qui veulent acheter ce produit6. Ces procédées manipule notre visions des choses. Ce fléau est lié à des phénomènes que nous allons citer ci-dessous.
En premier lieu, nous avons tendance à donner une explication à quelque chose à travers des croyances : c’est ce qu’on appelle le biais cognitifs. En plus de cela, l’effet Dunning-Kruger s’y ajoute : ce qui signifie que nous pouvons nous sentir très compétent sur un sujet or que nos connaissances sur celui-ci sont moindre. Ayant analyser le niveau de confiance en ses idées selon nos connaissances , deux psychologues ont conclues que nous atteignons le pic de « l’illusoire » lorsque nous pensons avoir la connaissance d’un scientifique sur un sujet que nous venons de découvrir7. C’est pour cette raison que plusieurs personne nous désinforme en pensant qu’ils disent la vérité.
De plus, lorsque nous faisons des recherche sur un sujet, nous faisons plus attention aux informations qui vont de paire avec nos croyances : c’est ce qu’on appelle le biais de confirmation. Dans ce domaine la pensé magique intervient aussi .Cette pensée qui est fondé sur des impressions, qui est lié à des croyances universelle mène souvent au complot8. En effet c’est à cause de cela que en temps de pandémie, beaucoup de fausse information ont circulé sur le covid-19, en faisant référence aux théories du complot9. En outre , c’est à cause de cela que les informations se propage vite.
Pour finir, quand nous sommes sur les réseaux sociaux, nous regardons souvent la même information défilée , quelle soit vraie ou fausse nous y croyons de plus en plus fort à force de l’entendre : c’est ce qu’on appelle le biais de répétition10. Si la fausse information qui disait que des migrants de Calait avait pique-niqués sur des tombes en 2016 n’avait pas fait le tour du monde à cause des réseaux sociaux, personne n’y aurait cru11. En résumé, c’est à cause des croyances, de la sur-confiance en soi et de la répétition que nous croyons fermement à une information. Après avoir vue les causes, nous allons trouver les solutions pour y remédier.
...