Étude de cas sécheresse anglais
Étude de cas : Étude de cas sécheresse anglais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anais Laine • 10 Avril 2018 • Étude de cas • 641 Mots (3 Pages) • 784 Vues
ANGLAIS
D’après un reportage à la télévision sur l’impact environnemental de l’industrie textile,
l'impact de la fabrication des textiles sur l'environnement est considérable à différents niveaux. Tout d'abord, nos vêtements sont majoritairement constitués de coton, or c'est l'une des plantes les plus gourmandes en eau. En effet, 10 000 litres d'eau sont nécessaires pour 1 kilo de coton, soit la consommation moyenne en eau d'un français, en trois mois. Pour un t-shirt en coton, on en utilise environ 500g, soit 5 000 litres d'eau ; les chiffres atteignent vite des valeurs alarmantes puisque l'achat d'un t-shirt représente votre consommation d'eau en un mois et demi. Or, d’après le document support ces deux documents se rattachent. Dans un premier temps nous verrons les défis écologiques, puis dans un second temps nous verrons les mesures à prendre pour diminuer le gaspillage.
This document is an article of Leon Kay published the Monday 12 august at 18h26.
Ce document dénonce des problèmes dans le monde. Les textiles teint laissent des séquelles tel la pollution de l’eau qui pose des problèmes importants. En Inde et en Chine, des maisons de teintures épuisent les sources d’eau locale, mais également desservent les eaux usées et non traitées dans les cours d’eau et les rivières locales. De nouveaux défi écologique vont être mise en place pour respecter la planète afin de teindre le coton et le polyester. Ces deux textiles sont les plus commercialisés en masse. Les entreprises se questionnent pour savoir comment atténuer les effets secondaires de ce processus de teinture pour ne plus qu’elle soit toxique. Kathy HATTORI est une femme qui dirige une société de fabrication de colorants naturels : Botanical Colors. Selon elle , il n’y a pas de solution miracle, il faut réduire l’impact de la teintures des textile car ce n’est pas possible, n’y réaliste d’éliminer un produit comme du polyester. De nombreuses usines devraient dans un premier temps faire attention au gaspillage par rapport à la teinture et l’eau. Le rapport est commun de 1 à 30. Selon HATTORI le rapport peut être de 1 à 10 pour la teinture de l’eau ce qui est un accomplissement. Madame HATTORI veut faire comprendre aux fabricants que ça ne sert à rien de diluer les colorants, car cela ne fait que gaspiller plus d’eau. Le principal problème dans la mécanisation des usines est la résolution des déchets impliqués dans la teinture des textiles. Certains tissus nécessitent des processus de fabrications différents. Il faudrait faire en sorte qu’une meilleure technologie se révolte pour que les teintures se facent avec peu d’eau ou sans eau.
La photographie de Martin GODWIN dénonce les textiles qui ont une grandes influence pour l’eau. La teinture est un problème à la fois pour l’utilisation massive de l’eau et la pollution. En plus d'utiliser énormément d'eau, et de la polluer, cette technique rejette des agents volatils nocifs, pour l'environnement et pour la santé. Il faut ajouter également, que, les transports tous mode confondus étant à l'origine de 16% des émissions de gaz à effet de serre, et la Chine étant le principal pôle, une grande partie de ce chiffre vient de l'acheminement des produits fabriqués dans ce pays, notamment les textiles. En effet, entre les transports maritimes, routiers et aériens, l'importation est source d'une importante pollution.
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