Politique écologique durant les mandats

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Durant leurs mandats, les président américains ont évidemment été exposés à des avertissements basés sur les complications que peut engendré le changement climatique, sujet très important en politique.

Ainsi, à travers ces documents, qui, pour la plupart sont des correspondances, nous allons pouvoir étudier la manière dont les 11 derniers présidents ont pu interpréter et administrer cette cause.

Comment a évolué la manière dont le changement climatique a été envisagé au fil du temps et des différents présidents ?

La première mise en garde contre le « contrôle du climat » fut annoncée en février 1961, soit durant le mandat de Kennedy. Ainsi, nous pouvons affirmer que c’est le premier président à avoir vraiment commencer à se renseigner sur ses problèmes et dans ce cas à propos de l’impact des gens sur les températures planétaires. A titre d’exemple, il a pu dialoguer avec l’ancien sénateur Clinton Anderson qui lui a transmis un premier avertissement direct sur les capacités des humains à modifier l’atmosphère ainsi qu’ une oblique sur un climat changeant. Ce dernier a donc dénoncer le fait que ce sujet ne peut être mis de coté, notamment de part la possibilité d’une nouvelle ère glaciaire qui provoquerait une multitude de dégâts.

Pour ce qui est de de Lyndon Johnson, il a directement été confronté à la situation alarmante du climat après l’assassinat de Kennedy puisqu’il a reçu, au début de son mandat, un rapport scientifique fédéral au sujet de la restauration de la qualité de l’environnement. En effet, le dioxyde de carbone a prit une ampleur conséquente puisqu’il s’ajoute à l’atmosphère terrestre par 6 milliards de tonnes chaque année à cause notamment des combustibles. La situation est alors plus que critique comme le déclare les spécialistes car cela engendrera très rapidement une modification du bilan thermique de l'atmosphère à un point tel que des changements climatiques irréversibles pourraient se produire si le gouvernement n’y fait rien.

Durant le gouvernement de Nixon, dans les années 1970, toujours dans la même démarche d’amélioration écologique que les deux anciens présidents, le personnel du Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison Blanche a élaboré des plans de recherche de sources d'énergie à faibles émissions afin de limiter les dégâts sur l’environnement puisqu’en aout 1970, une enquête du bureau a dénoncé que la pollution de l’air est presque entièrement causée par les combustions fossiles.

La volonté de recherches de solutions en rapport avec les modèles météorologiques et les systèmes climatiques est très présente à Washington sous le gouvernement du président Ford. Les scientifiques sont très impliqués, c’est pourquoi en 1975, un an après le début de son mandat, Ford a reçu un rapport sur la "modification climatique globale par inadvertance », qui fessait référence à un réseau mondial de capteurs surveillant la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère qui peuvent conduire à un changement climatique mondial qui résulterait même à un période interglaciaire comme avait déjà pu l’abordé Kennedy à l’époque. Ainsi, étant donné que ces changements climatiques surviennent pour la plupart via l’activité des hommes, le gouvernement des Etats-Unis a décidé de ne pas accorder d’ attention particulière à toute proposition visant à modifier intentionnellement le climat.

Malgré des avancés autour de l’écologie avec les présidents antérieurs ,à l’arrivée de Carter au pouvoir, les pronostics sur le sujet sont désastreux. En effet, malgré que le plan national avait reconnu l’existence de l’impact du dioxyde de carbone et que les experts mettaient en vain en garde le gouvernement

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