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La philosophie en débat

Dissertation : La philosophie en débat. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Février 2020  •  Dissertation  •  446 Mots (2 Pages)  •  469 Vues

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Depuis de siècles, la philosophie est au cœur de plusieurs débat. Chaque personne a une opinion diffèrent, face à divers sujets philosophiques. C’est intéressant la diversité d’opinions. La question aujourd’hui est si l’être humain est réellement libre. Il a de la Boétie qui parle de la servitude volontaire en lien avec la liberté. Le deuxième est Jean-Jacques Rousseau qui parle de l’inégalité des hommes. Finalement, il aura une conclusion sur la liberté.

Tout d’abord, de la Boétie remet en question de légitimité des gouvernant. Le gouvernant qui les appelle aussi les tyrans ou les maitres, domine l’état. Pour La Boétie, les gouvernants ont plutôt tendance à se distinguer par leur impéritie. Ensuite viennent la religion et les superstitions. Mais ces deux moyens ne permettent de dominer que les ignorants. Tu ne te peux pas te lier d’amitié avec un tyran, car il sera toujours au-dessus de toi. Les tyrans on aucunement de remord à ce qui font. Il mène le pays de la façon qu’il veuille. La première raison pour laquelle les hommes servent volontairement, c’est qu’il y a ceux qui n’ont jamais connu la liberté et qui sont « accoutumés à la sujétion ». La Boétie décrit dans son Discours : « Les hommes nés sous le joug, puis nourris et élevés dans la servitude, sans regarder plus avant, se contentent de vivre comme ils sont nés et ne pensent point avoir d’autres biens ni d’autres droits que ceux qu’ils ont trouvés ; ils prennent pour leur état de nature l’état de leur naissance ».

 Selon de la Boétie ne nous somme pas libres. Tu ne peux pas faire tes propres choix quand le gouvernant te domine sur plusieurs facettes. Tu es soumis par le gouvernant.

Jean-Jacques Rousseau parle de l’inégalité des hommes. On ne peut pas être au même niveau social chacun des hommes. Certaine personne son plus haut gradé. Il faut vivre avec l’inégalité, même si c’est parfois difficile.  Chez Rousseau, le mal désigne à la fois les tourments de l'esprit qui préoccupaient tant les stoïciens mais également ce que les Modernes nomment l'aliénation, c'est-à-dire l'extrême attention que les Hommes portent au regard des autres. Attention qui les détourne de leur moi profond, de leur nature. Rousseau termine son discours en définissant, d'une part, sa vision de l'égalité où l'inégalité des conditions doit être proportionnée à l'inégalité des talents, et en constatant, d'autre part, que l'Homme ne peut pas revenir en arrière, que l'état de nature est définitivement perdu.

En comparant les deux conceptions, il est possible de remarquer certaines ressemblances. Tout d’abord, les deux philosophes pensent que certaines personnes sont en dessus de toi, à cause de leurs statue social (gouvernant et politique).

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