Churchill

PARTIE I :

Le 1 septembre 1939, des troupes allemandes ont envahi la Pologne. La Grande-Bretagne et la France avaient garanti la souveraineté de Pologne et conformément à cette garantie, étaient publié des ultimatums en Allemagne. L'ultimatum britannique, publié le 2 septembre, a exigé que l'Allemagne arrête l'invasion et retire toutes les forces armées allemandes du territoire polonais dans vingt-quatre heures. Le 3 septembre, Premier ministre
Neville Chamberlain a annoncé dans la Chambre des communes que l'ultimatum avait expiré et la Grande-Bretagne était en guerre avec l'Allemagne pour la deuxième fois dans seulement vingt-cinq ans.

Ironiquement immédiatement après l'annonce du Premier ministre, une alarme  avertit d'une attaque aérienne et le débat est ajourné aux abris anti-aérien. L'avertissement s'est révélé être faux et l'après-midi les Communes sont réunis de nouveau. Winston Churchill, qui n'avait pas été un membre de cabinet pendant dix ans, a reçu la parole et a prononcé son discours final comme un député de base. Il avait soixante-quatre ans.

Après le discours de Churchill et le débat qui a suivi, le Premier ministre a demandé à Churchill d'accepter la position de Premier Lord de l'Amirauté, une position qu'il avait une partie de Première Guerre mondiale. À 18h00. Churchill a pris ses fonctions et le signal a été projeté à la Marine Royale, "Winston est de retour!" Winston Churchill a tenu cette position au  de cabinet de guerre jusqu'au 10 mai 1940, quand il est devenu le Premier ministre de la Grande-Bretagne

PARTIE III

En 1929, Winston Churchill a tenu une position au cabinet quand le gouvernement est tombé. Désormais jusqu'à 1939, il n'a pas tenu de fonction gouvernemental et on connaîtra plus tard cette période comme ses Années de Désert. Tandis qu'il a tenu une un siège dans le Parlement, il est resté un député de base pendant ces années turbulentes. Ainsi, pendant ces années il a voyagé, a écrit, travaillé sur sa maison à Chartwell et a observé avec une préoccupation croissante, la situation politique en Allemagne.

Le 30 janvier 1933, le Président allemand Paul von Hindenburg a choisi Adolf Hitler pour être son chancelier. Le parti nazi d'Hitler était monté fermement en Allemagne dans l'ère de la Première Guerre mondiale et chercherait maintenant à consolider son pouvoir par les fonctions d'Hitler. Ce pouvoir a été prolongé par un Acte de Pouvoirs extraordinaires, après le feu de Reichstag et quand les fonctions du Président et du Chancelier ont été combinés avec la mort de Président Hindenburg. Après cela, le rétablissement économique d'une grande partie d'Allemagne a été basé sur la croissance militaire par les dépenses du gouvernement allemand.

Le gouvernement d'Hitler a été construit en grande partie sur un rejet des termes du Traité de Versailles, qui avait été signé à la fin de Première Guerre mondiale. Ainsi la construction d'une armée, une marine et une force aérienne aussi bien qu'une recherche et développement d'armes significative a constitué les violations de ce traité. la Grande-Bretagne et la France savaient ceci avant 1936 n'a pas semblé être une grande préoccupation et il y avait en réalité un peu de sympathie pour les réclamations du parti nazi. Pendant ce temps, de sa position des députés de base, Winston Churchill a commencé à avertir des intentions allemandes, qui lui ont semblé évidentes pour une variété de raisons, y compris le propre livre d'Hitler, Mein Kampf.

En mars 1936, des forces militaires allemandes ont traversé le Rhin, le fleuve et ont établi une occupation dans la Rhénanie, que l'on avait formelement interdit dans le Traité de Versailles. Ni la France ni la Grande-Bretagne n'a pris de décision forte pour défendre le traité et la confiance d'Hitler est montée en flèche. Deux ans plus tard la nation allemande d'Autriche a été absorbée et des plans Nazis pour l'annexion de la partie du nord de la Tchécoslovaquie ont été faits apparents

En septembre 1938, le Premier Ministre Neville Chamberlain a fait trois voyages en Allemagne conférer avec Hitler de ses intentions et essayer de négocier des garanties pour la paix. La rencontre finale se passant à Munich, qui a inclus le Président de la France, Edouard Daladier, a abouti à l'accord  Anglo-français pour permettre les allemands à annexé la région des Sudètes. Chamberlain a espéré que cet accord établirait la paix pour peu de temps donc d'autres préoccupations pourraient être abordées, mais il a été bientôt critiqué par Churchill, qui avait prévu que l'Allemagne ne serait pas satisfaite. Tôt en 1939, des troupes allemandes ont saisi le reste de la Tchécoslovaquie.

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