Pensez vous qu'une simple inscription sanguinaire sur une porte est suffisante pour condamner un père de famille à dix huit ans de réclusion criminelle ?
Analyse sectorielle : Pensez vous qu'une simple inscription sanguinaire sur une porte est suffisante pour condamner un père de famille à dix huit ans de réclusion criminelle ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yanisrkma • 20 Mai 2021 • Analyse sectorielle • 369 Mots (2 Pages) • 583 Vues
L' Affaire
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Laissez moi, mes chers amis, vous faire part d'une étrange affaire qui a suscité de nombreux débats qui ont par la suite été vains et inutiles.
Tout d'abord, je ne voudrais en aucun cas vous influencer ou vous imposer quoi que ce soit. L'interprétation que je donne à cette « erreur judiciaire » est bien évidemment subjective.
Qui se rappelle du jardinier de nationalité marocaine Omar Raddad ? Jeune père de famille incarcéré en 1991 soit dit en passant pour le meurtre de son employeur Ghislaine Maréchal. Le principal motif ? Une phrase d'accusation en lettre de sang inscrite sur une porte près du corps de Madame Maréchal. Cette inscription qui comportait d'ailleurs une faute de grammaire « Omar m'a tuer » était pour la Justice considéré comme un élément suffisant pour imputer le crime à Omar Raddad qui, ne parlant pas très bien la langue française ne pouvait clamer parfaitement son innocence.
Pensez vous qu'une simple inscription sanguinaire sur une porte est suffisante pour condamner un père de famille à dix huit ans de réclusion criminelle ?
Ghislaine Maréchal était dans un état lamentable et apathique. Comment pouvez vous donc croire qu'un humain, après s'être fait violemment poignardé, ait encore le courage pour écrire lisiblement « Omar m'a tuer » avec son sang sur une porte ? Ne pensez vous pas plutôt que le véritable criminel, qui est d'ailleurs inconnu aujourd'hui aux yeux des Français s'est servi d'Omar Raddad, sans défense pour accuser cet homme et mettre fin à l'histoire rapidement ? Ne vous laissez pas bercer dans cette histoire et ouvrez vos yeux...
Après vingt cinq ans, l'état Français a surement du trouver le véritable meurtrier mais a préféré garder comme suspect numéro un, Mr Raddad.
Je les comprends parfaitement, le dédommagement leur couterait cher, très cher...
Doit-on considérer que l'état préfère laisser un criminel en liberté plutôt que de dédommager une personne à qui il a ôté la liberté pendant sept années consécutives ?
Je vous invite donc, mes chers lecteurs à vous poser certaines questions et vous verrez que le véritable meurtrier n'est autre que l'état...
A bon entendeur...
Je vous envoie ceci par mail car au collège je crois qu'il n'y a pas le logiciel Word
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