La princesse de Clèves est-elle, selon vous, une héroïne libre de ses choix ou une victime de la société de son temps ?
Compte rendu : La princesse de Clèves est-elle, selon vous, une héroïne libre de ses choix ou une victime de la société de son temps ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pixel Game • 24 Novembre 2021 • Compte rendu • 386 Mots (2 Pages) • 766 Vues
Dissertation : La princesse de ClèvePeyrard Tyno 1G2
Dissertation : La princesse de Clèves est-elle, selon vous, une héroïne libre de ses choix ou une victime de la société de son temps ?
Le héros se caractérise traditionnellement par nombre de ses qualités et de sa morale. Il apparaît comme un modèle à suivre qui est susceptible d'être admiré. Mme de Lafayette semble confirmer cette vision du personnage en insistant sur son comportement héroïque et vertueux. De plus, la princesse est soumise à une série d'événements qu'elle ne peut contrôler. En effet, les décisions ne viennent pas toujours d'elle. On peut donc se demander si la princesse est libre de son choix ou victime de la société de son temps. Tout d'abord, nous nous pencherons sur Mme de Clèves qui est un individu soumis à la pression de la société de son temps. En outre, nous verrons que la princesse construit son autonomie et acquiert un pouvoir de décision.
Mme de Clèves ne choisis pas son mari en effet, il lui est imposé par sa mère mais également par les circonstances qui font que seul le prince de Clèves la demande en mariage, par l’obligation pour une jeune fille de 16 ans de se marier rapidement. On ne sait pas du tout ce qu’elle pense de toutes les intrigues autour de son mariage et la réponse à sa mère que le prince lui cause moins de répugnance qu’un autre suffit à la marier. Elle ce mari alors sans savoir ce qu’est réellement l’amour. Elle est soumise en outre à la Pratique des mariages arrangés dans les familles royales et de l’aristocratie, effectivement, la fille du Roi doit épouser le roi d’Espagne, Monsieur d’Anville la petite-fille de Diane de Poitiers. Ce sont donc les parents qui décident qui leurs enfants vont épouser. La princesse rappel à son fiancé son devoir de bienséance : « une personne où l’on ne pouvait atteindre ». Soumise à son Oncle, le Vidame de Chartres, qui provoque, à deux reprises, des rencontres avec Nemours afin de lui conserver la protection de la reine, réécrit la lettre avec le duc de Nemours : moment de bonheur partagé qui augmente son trouble et ses sentiments à son égard.
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