Genève et la peine de mort
Fiche de lecture : Genève et la peine de mort. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kikou79330 • 19 Février 2020 • Fiche de lecture • 403 Mots (2 Pages) • 895 Vues
Analyse du texte « Genève et la peine de mort »
Le texte de Victor Hugo « Genève et la peine de mort » est une argumentation sur l’abolition ou non de la peine de mort. Dans ce texte l'auteur exprime un avis positif sur son abolition. Il départage son texte en 9 mouvement du texte et c'est grâce cela que l'on va analyser son point de vue et les arguments qu'il avance.
Tout d’abord, il pose la problématique et le débat dans la première partie de la ligne 1 à 4.
Puis il commence à questionner l’auditoire qui aurait un avis contraire au sien. Il appui ses propos sur la religion chrétienne car l'auteur est très croyant tout comme une majorité de la société de l'époque. De la ligne 4 à 9. Ensuite il commence à dénoncer en montrant l'horreur de la peine de mort et il ce justifie encore par la religion en citant « un prêtre là mais il tremble » car à l'époque les condamnées avait le droit à une dernière prière avant l’exécution tout cela de la ligne 10 à 12. C'est aussi la fin du premier paragraphe ce qui veut dire qu'un mouvement de texte de correspond pas forcément à un paragraphe.
Dans le deuxième paragraphe il commence par une nouvelle partie pratiquement comme la deuxième où il pose des questions mais cette fois il dénonce et demande a la société de se mettre à la place d'un condamné. Après de la ligne 19 à 22, il exagère sur le terrifient de l’exécution avec une nouvelle fois référence à la chrétienté avec « enfer » et « Dieu ». Encore une fois Victor Hugo interroge ? Cette fois il rend coupable la société de tous ces exécution. Il essaye de les faire culpabiliser. Par la suite de la ligne 25 à 30 il pose un peu plus la situation en dramatisant et en continuant le rapport à Dieu.
Enfin pour finir, il termine par deux phrase séparer comme deux paragraphe mais ils ont tous les deux la même utilisation, ils servent de conclusion, au quel il ajoute un effet moralisateur avec des phrases qui ressemble à des morales comme dans les fables de Jean de La Fontaine.
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