Poésie « La Vie antérieure » de Charles Baudelaire.

Poésie « La Vie antérieure » de Charles Baudelaire.

C'est un sonnet, ce sont des rimes embrassées, féminines et masculines écrient en alexandrin.

Le dernier paragraphe est un tercet. Le sonnet se caractérise par des alexandrins et un tercet.

Il y a un rejet sur les deux dernier vers.

Les houles = les vagues.

On a l'impression que c'est son idéal de vie antérieure. ((Pythagore est le théoricien de la métempsychose, c'est le fait que les âmes voyagent = la réincarnation). La psychose = âme. Lorsqu'un être humain meurt, son corps reste par terre, mais son âme s'envole pour reconstituer un nouveau corps.)

on est passé d'une généralité à une expérience personnelle → titre: la vie antérieure, « j'ai long-temps habité ».

une vie qui est encrée dans une réalité spatio-temporelle.

L'image qu'il évoque, n'est pas une image qui fait peur, ni qui déplaît, le vocabulaire n'est pas péjoratif.

C'est une vie de plaisir « c'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes ».

Un champs lexical laudatif avec les louange: « qui me rafraîchissaient le front », « des flots et des splendeur »

Le décor est posé, la recherche d'une décor exotique qui dépayse « leurs grand piliers, droit et majestueux ».

Le terme douloureux vient effacer toutes les expression de plaisir et de calme qu'il y avait avant.

Le bleu est évoqué par le mot marin et la houle de manière implicite, les cieux.

Le jaune/ orange est évoqué par le mot soleil teignaient de mille feux.

Ce sont des couleurs froides et chaudes elles n'appartiennent pas à la même catégorie.

On ne peut pas parler d'une décor clos, puisqu'ils y a les adjectif vaste qui donne l'impression de grandeur. Les portiques ( c'est ouvert).

Ce qu'il décrit existe vraiment, il par du principe que les visions que l'on a viennent de notre vie antérieure. (l'impression d'avoir déjà vécu quelque chose, explication spirituelle).

On a à la fois une expérience sensorielle et une expérience réelle.

Les sens : l'odorat « tout imprégnés d'odeur » (pour les esclaves).

La vue avec les paysages

L’ouïe avec les « houles ».

le toucher avec « qui me rafraîchissaient le front avec des palmes »

tout le corps est imprégné d'une sensation, chaque sensation le fait vibrer, vivre ( vie antérieure).

Il y a une désillusion à la fin d'un sonnet qu'en on passe au tercet. La désillusion de ce sonnet est « le secret douloureux qui me faisait languir ».

A chaque fois il a les clés en main, il a tout pour être heureux, mais finalement il ne trouve pas de sens à sa vie.

En lien avec le poème élévation: par rapport à la spiritualité, dieux, ces désirs.

(Les païens ce sont ceux qui ne croisent pas aux religions musulmanes, chrétiennes et juives.

Les païens ont leur propre religion et peuvent vénérer plusieurs dieux en même temps.)

Dans le poème élévation, il y a aussi une référence aux grecs et dans ce poème il y a une référence aux grecs avec les portiques antiques.

...