Phèdre

Jean Racine est considéré comme l'un des plus grands dramaturges classiques français. Né en 1639, il reçoit une éducation janséniste à l'école "Port Royal". Après avoir écrit de la poésie, il se consacre finalement au théâtre. Dès 1664, il écrit les tragédies (et la comédie "Les Plaideurs" en 1668) qui le mèneront au succès, notamment grâce à ces grands noms : Alexandre (1665), Andromaque (1667), Britannique (1669), Bajazet (1672), Mithridate (1973), Iphigénie (1974) et enfin Phèdre (1677). Au XVIIe siècle, la tragédie était le genre dramatique dominant.

Il se rend compte que ses sentiments pour Aricie sont plus forts que sa raison « Je vois la raison céder à la violence » Dans ce vers Hippolyte parle de la violence de la passion extrême. Deuxièmement, il a expliqué que son âme était finalement accrochée, admettant qu'il ressentait ce qu'il ressentait depuis "presque six mois". Cette douleur est avant tout associée à un amour non réciproque, impossible.

 En effet, Hippolyte était le fils de Thésée, lui-même époux de Fidel. Cela montre que Phèdre désapprouve cet amour et est mal à l'aise avec Hippolyte. ... Elle confronte Hippolyte à son amour pour Hippolyte, qui devient soudain le « toi » à la deuxième personne du singulier auquel elle faisait référence à son gendre : « je t'en ai assez dit » (v. 6) ; « j'aime toi" (verset 8) ; "Je me déteste plus que vous ne me détestez".

La tragédie racinienne libère la parole d'amour qui marque si souvent une transgression : dès le premier acte, Hippolyte avoue un amour interdit à Alicia, suivi de Ce qui suit est la confidence de Fidel à sa nounou Onone ; ce dernier recueille les paroles de la reine malade, qui brûle… Hippolyte rejette immédiatement la confession de Phèdre et la condamne fermement.

Sans hésiter, il n'a même pas l'air tenté : « Ma honte ne peut plus soutenir ton regard. / Je vais... » Phèdre, sûrement blessée et humiliée par sa réaction, le coupe, Point comme indiqué par Pause.

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