La princesse de Clèves, Mme de Lafayette
Commentaire d'oeuvre : La princesse de Clèves, Mme de Lafayette. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Calicia Calice • 6 Avril 2020 • Commentaire d'oeuvre • 598 Mots (3 Pages) • 603 Vues
Cette fois-ci nous nous attarderons sur un auteur, Zola, qui a su et c’est approprier le style du réalisme en quelque sorte, on pourrais dire qu’il est naturaliste. Chacun de ses personnages est un contre exemple de la vertu. On s’en aperçoit en lisant « Germinal », où ici, s’on aussi retranscrit les vices de l’humanité, tel que l’immoralité, l’alcoolisme et les perfidies. Il y a une absence de morale dans le roman, les mœurs en sont brisées.
Il existe aussi le total inverse, l’achétype, c’est quand le personnage de roman se veut représentatif d’une certaine catégorie d’humanité, et devient un modèle, non pas au sens valorisant d’exemple à suivre, mais au sens de contre-exemple, de mal incarné, il effraie. On retrouve Bel-Ami,le héros de Maupassant publié en 1885 est le modèle des hommes sans scrupules dont la réussite sociale n’est liée qu’à un physique avantageux et à un peu d’habileté.
Le roman permet de développer un grand nombre de personnages différent aux conditions différentes et aussi aux modes de pensées. Dans ce cas de figure, on observe des personnages très différents au niveau de leur vertu. Certains sont réalistes et permettent d’étudier les conditions humaines.
Il ne faut donc pas oublier de faire la différence entre les pensées et paroles du personnage, et celles de l'auteur. Cette fois-ci nous nous attarderons sur un auteur, Zola, qui a su et c’est approprier le style du réalisme en quelque sorte, on pourrais dire qu’il est naturaliste. Chacun de ses personnages est un contre exemple de la vertu. On s’en aperçoit en lisant « Germinal », où ici, s’on aussi retranscrit les vices de l’humanité, tel que l’immoralité, l’alcoolisme et les perfidies. Il y a une absence de morale dans le roman, les mœurs en sont brisées.
Il existe aussi le total inverse, l’achétype, c’est
Il existe aussi le total inverse, l’achétype, c’est quand le personnage de roman se veut représentatif d’une certaine catégorie d’humanité, et devient un modèle, non pas au sens valorisant d’exemple à suivre, mais au sens de contre-exemple, de mal incarné, il effraie. On retrouve Bel-Ami,le héros de Maupassant publié en 1885 est le modèle des hommes sans scrupules dont la réussite sociale n’est liée qu’à un physique avantageux et à un peu d’habileté.
Le roman permet de développer un grand nombre de personnages différent aux conditions différentes et aussi aux modes de pensées. Dans ce cas de figure, on observe des personnages très différents au niveau de leur vertu. Certains sont réalistes et permettent d’étudier les conditions humaines.
Il ne faut donc pas oublier de faire la différence entre les pensées et paroles du personnage, et celles de l'auteur. Cette fois-ci nous nous attarderons sur un auteur, Zola, qui a su et c’est approprier le style du réalisme en quelque sorte, on pourrais dire qu’il est naturaliste. Chacun de ses personnages est un contre exemple de la vertu. On s’en aperçoit en lisant « Germinal », où ici, s’on aussi retranscrit les vices de l’humanité, tel que l’immoralité, l’alcoolisme et les perfidies. Il y a une absence de morale dans le roman, les mœurs en sont brisées.
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