Vocabulaire de la physionomie et de la silhouette
Thèse : Vocabulaire de la physionomie et de la silhouette. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar W-erka • 18 Juin 2017 • Thèse • 960 Mots (4 Pages) • 1 240 Vues
Vocabulaire : physionomie et silhouette
Le NEZ droit, grec, busqué, bourbonien, crochu, camard, camus, aquilin, pointu, retroussé, bossué | Le MENTON carré, énergique, fuyant, pointu, en (forme de) galoche |
Les OREILLES ourlées, décollées, en feuille de chou, petites le TEINT pâle, blême, diaphane, livide, mat, incarnat, basané, terne, éclatant | La BOUCHE lippue (lips = lèvres, en anglais), gourmande, grande, mince, petite, édentée, ridée les LEVRES charnues, fines, bien dessinées, sensuelles, vermeilles, pulpeuses les DENTS émail blanc, dents jaunes, noires, rares, dents éblouissantes, bien blanches, saines, nacrées |
Les CHEVEUX ondulés, épais, fins, filasses, crépus, frisés, plats, raides, bouclés, longs, courts le FRONT dégagé, bas, haut, bombé, intelligent, étroit | Les YEUX ils ont un iris, une prunelle, une pupille, des cils et des sourcils yeux bridés, saillants, exorbités, globuleux, vifs, pétillants, brillants, éteints, gros |
Réécris le texte de manière à faire d'une femme l'antithèse de Mme Grandet en changeant ce qui est souligné.
Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente ; une de ces femmes qui semblent être faites pour être tyrannisées. Elle avait de gros os, un gros nez, un gros front, de gros yeux, et offrait au premier aspect, une vague ressemblance avec ces fruits cotonneux qui n'ont plus ni saveur ni suc. Ses dents étaient noires et rares, sa bouche était ridée, son menton affectait la forme dite en galoche. […]
[…] Madame Grandet mettait constamment une robe de levantine verdâtre, qu'elle s'était accoutumée à faire durer près d'une année ; elle portait un grand fichu de cotonnade blanche, un chapeau de paille cousue, et gardait presque toujours un tablier de taffetas noir. Sortant un peu du logis, elle usait peu de souliers.
BALZAC, Eugénie Grandet
Réécris le texte afin que cette princesse devienne hideuse en changeant ce qui est souligné.
La princesse était la plus belle brune que l'on pût voir au monde : elle avait les yeux grands, à fleur de tête, vifs et brillants, le regard doux et modeste, le nez d'une juste proportion et sans défaut, la bouche petite, les lèvres vermeilles et toutes charmantes par leur agréable symétrie ; en un mot, tous les traits de son visage étaient d'une régularité accomplie. On ne doit donc pas s'étonner si Aladin fut ébloui et presque hors de lui-même à la vue de l'assemblage de tant de merveilles qui lui étaient inconnues. Avec toutes ces perfections, la princesse avait encore une riche taille, un port et un air majestueux, qui, à la voir seulement, lui attiraient le respect, qui lui était dû.
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