TPE sur la prostitution

Prostitution

A) Historique de la prostitution

- De 1750…

-…À nos jours

(oral) Types de prostitution

-maisons closes

-sur internet

B) La prostitution illégale

-Les proxénètes

-les réseaux de prostitution étudiants

-Délits de racolage

Transition

II. Trafics d’organes

A) Historique des trafics d’organes

-De…

-À…

B) Que dit la loi?

-Monde, Europe, France

-Comment les trafiquants la contourne?

-Cas de figure

INTRO :

De nos jours, la plupart des gens ne font pas attention au trafic d'organe, au proxénétisme ou à la prostitution qui sont pourtant des problèmes bien présents dans notre société. Ces trois problèmes ne respectent pas une des libertés fondamentales : le mandat de l'habeas corpus . Il désigne la liberté de ne pas être emprisonné sans jugement. Le trafic d'organe est présent partout dans le monde, qu'il soit voulu ou non, c'est l'exercice illégal du commerce d'organes. Il comprend le prélèvement d'un organe ou d'un tissu humain sur des personnes vivantes ou décédées, en vue d'une transplantation. Le proxénétisme consiste à profiter de la prostitution d'autrui c'est une pratique illégale et punissable, quant à la prostitution, elle est légale, pourtant ses clients, eux, ne respectent pas la loi en profitant des services qu'offrent les prostitué(e)s, la prostitution consiste à vendre son corps pour des services sexuels.

Dans ces trois cas de figure, nous pouvons voir que ces personnes ne disposent pas vraiment de leurs corps, alors comment l'argent amène t'il à vendre ou à se faire voler son corps ?

Dans un premier temps nous verrons la prostitution qui comprend le proxénétisme, qu'est ce que la prostitution, le rôle des proxénètes, nous le verrons des nos jour et dans notre région. Dans un second temps nous expliquerons le trafic d'organe, sa naissance et les lois qui le contrôlent .

I/ PROSTITUTION :

A. De 1750 à nos jours

La prostitution est un des plus vieux métiers du monde, mais ne s'est réellement découvert que dans les années 1750, il est organisé et géré par des matrones, dans l'esprit des philosophes des lumières a cette époque on a voulu enfermer les filles afin de mieux les séparer de la population et de les contrôler a l'aide des médecins et des policiers, c'est la naissance des maisons closes ; elles correspondaient a la version hygiénique morale sociale et policière idéale . Ces maisons closes ont donné une réputation de femmes dangereuses aux prostituées, femmes dont on ne pouvait borner les méfaits qu'en les enfermant. Après le désastre de la guerre franco-allemande en 1871, une lutte anti-prostitution s'est mise en place, les principaux arguments de cette propagande sont les maladies que peuvent transmettre les prostitués . A cause de cette lutte incessante et des policiers sur leurs garde, un trafic de filles s'est développé dans la France bourgeoise depuis ce jour le trafic n'a pas cessé, seulement, le trafic de prostituées françaises est moindre, les proxénètes vont dans les pays de l'est chercher des filles sans papiers pour qu'elles travaillent pour eux .

Depuis que le France a ratifié la Convention de L'ONU en 1960, la prostitution n'est plus considérée comme un crime, et la personne prostituée est placée en victime par les autorités sans doute pour lui faciliter une intégration sociale qui est minée de préjugés. Elle peut donc exercer son métier en toute liberté, mais malgré tout cette dernière rencontre des difficultés à son intégration sociale. Cependant, elle peut prétendre à avoir un rôle utile dans la société en accompagnent les personnes qui comme certains handicapés n’ont pas la possibilité d’être souvent en contact  avec autrui ou en manque d’affection. Mais malgré cela, la vision publique de la personne prostituée est assez négative et est rempli de violences verbales voir physiques. Se prostituer vient du latin « prostituere », qui signifie « placer devant ». Les personnes prostituées sont celles qui sont sur le devant de la scène où elles incarnent des personnages qui doivent donner l’illusion que les difficultés relationnelles, les peurs, les conflits, les souffrances, les échecs ou les fantasmes liés à la sexualité vont pouvoir trouver une issue. Tout comme la figure imaginaire de la mère qui devrait combler totalement le manque, celle de la prostituée représente la possibilité de réaliser tous les désirs fantasmés. Ces deux figures sont bien sur mythiques, mais elles sont moralement opposées, coupant ainsi la femme dans une dualité irréductible. En déifiant la mère, on désigne, par là-même, l’autre femme, celle qui n’est pas la bonne. On projette sur elle le mépris, la haine, le rejet, l’envie ou la fascination qui ne peuvent  s’exprimer à l’égard des autres femmes considérées comme respectables.

Accessible à tous, la prostituée éveille le désir d’autant plus qu’interdit moral s’attache à son activité. Cet interdit générateur de fantasmes, car il est de l’ordre du tabou : en effet, la plupart du temps, il est inavouable d’avoir recours à des personnes prostituées, de même qu’il est « innommable » de pouvoir dire « je me prostitue ». La prostituée incarne l’interdit, créant ainsi la perspective d’une infinie jouissance par la possession de l’autre. Mais il ne s’agit que d’un leurre car, bien évidemment, celle-ci est impossible. Jugées comme objets responsables

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