Sujet d'invention

je me souviens encore de ce son tranchant et sourd, qui réveillait les esprits endormie. Oui, ce son qui annonçait le début et la fin d’une journée d'école. À cette période de ma vie, j’avais 10 ans et j’étais en CM2, j'étais plutôt potelé avec de bonnes joues de type Lion, un visage rond paternel, des yeux marron maternel, j'étais d’une taille moyenne et des cheveux bouclés tel des ressorts que ma mère adorait coiffer. Ma mère qui étais douce tel la rosée fraîche du matin, m’amenait tout les jours main dans la main à l’école. À l’école, je voulais toujours être la première en mathématiques, mais je n'étais pas la seule. Dans ma classe, il y avait une fille elle s’appelais Charlotte. Charlotte qui était ma pire ennemie était fine comme une allumette, des yeux marron, des joues plates, avait une taille de 4 ou 5 centimètre de plus que moi et avait des cheveux dorés que j’enviais. En math, nos notes avaient 2 ou 3 points d’écart, ce qui me rendais folle de rage. À chaque fois que la maîtresse nous rendait nos feuilles, je demandais à Charlotte la note qu’elle avait et à chaque fois d’un aire satisfaits , elle disait sa notes qui de toute évidence avait 2 ou 3 points de plus que moi. Je m’étais dit que si un jours j’aurais une meilleure note qu’elle, je lui cracherais au visage avec le même aire de satisfaction ! . Cette idée me passa à chaque qu’elle avait un meilleur notes que moi. Un jours, la maîtresse nous fîmes écrire dans le cahier de texte le jours de l’évaluation de mathématiques . Le soir du lendemain de l'évaluation, ma sœur qui était a l’université m’aida à réviser. Le lendemain, c'était la premier fois que j’étais angoissée et douteuses de mes capacités, nous rentrâmes dans la classe où il y a avait Charlotte avec son aire de confiances qui était déjà assise. L’évaluation se termina à l’heure de la recréation, pendant la récréation j’était presque en pleure car je pensais avoir raté mon examen. Je redoutais nos évaluation, deux jours après,la maîtresse nous rendît nos feuilles. Charlotte qui eût son évaluation avant moi me dit qu’elle avait eu 17 se qui m’exaspérais le plus au point. Au moment même où j’avais vu ma note un hurlement m’envahis :

-«J’AI EU 20. » disais-je en me tenant debout.

Mon regard se dirigea vers Charlotte, je lui fis un sourire narquois. Elle détourna le regard d’un aire énerver j'étais tellement fier de moi, fier de n’avoir pas baisser les bras mais bien-sûr j’étais fier d’avoir enfin gagné.

Conclusion :

En prennent du recul sur cette événement de mon enfance, je conclus que quand j’étais petite j’était focalisée d’être meilleure que Charlotte. Cela m'a permis de découvrir le doute, la fierté et la confiance.

Chacun de nous rencontre un période de doute et d’incertitude, pour moi, c’est cette événement qui m'a permis de reprendre confiance en moi et en mes capacités.

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