Les animaux malades de la peste, Jean de la Fontaine

Introduction :

Jean de la Fontaine écrit « Les animaux malades de la peste » en 1678. Il y peint un groupe d’animaux qui est touché pas l’épidémie de la peste. Le Lion, qui incarne le roi, rassemble le peuple pour décider le plus coupable d’entre eux pour l’offrir en sacrifice

Nous avons vu comment le l’auteur met en garde le lecteur de la fin de la fable et comment il rend le Lion appréciable aux yeux du lecteur

Enfin, nous allons voir comment l’auteur critique la société à travers cette fable.

Premièrement, il dénonce la défense du puissant. Tout d’abord il peint au lecteur un plaidoyer flatteur grâce au vocabulaire élégiaque du Renard : « trop bon » « honneur » Ensuite, l’auteur décrit une cour flatteuse qui applaudit après le discours du Renard.

Secondement, il dénonce la condamnation du misérable. Tout d’abord, le narrateur place de l’ironie et de l’exagération grâce aux phrases exclamatives dans : « manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable !). En effet, manger l’herbe d’autrui est qualifié de crime abominable et manger un mouton et le berger d’un honneur pour les moutons. En suite le lecteur ressent l’hypocrisie de chacun des autres animaux. En effet, aucun d’entre eux n’a commis d’offense « Au dire de chacun étaient de petits saints ». Et pourtant, tous condamnent l’âne pour son méfait.

Pour conclure nous avons vu comment l’écrivain fait passer une morale au lecteur a travers la lecture de la fable. En effet ; la morale est explicitée dans la fin du texte « Selon que vous serez puissant ou misérable,

Les jugements de la Cour vous rendront blanc ou noir ». Mais le lecteur l’aura compris bien avant de lire les deux derniers vers

...