Fiche de lecture Goffman

Fiche de lecture n°1 : ERVING GOFFMAN, la mise en scène de la vie quotidienne, tome 1 la présentation de soi

Chapitre 3 : les régions et le comportement régional

On a la définition d’une région, lieu borné par un obstacle / espace-temps différent selon les régions mais on assiste toujours à une représentation

deux catégories de normes, la façon dont l’acteur traite le public et la façon dont l’acteur se comporte avec le public mais dans le champs visuelle ou auditif donc pas forcement de conversation avec celui-ci

description des normes au travail fine limite avec celle de la bienséance morale et instrumentale/ région antérieure  accentuation de certains aspects comme l’impression de soi, des illusions.

région postérieure  l’arrière du spectacle de la représentation, lieu d’intimité ou aucun public n’est présent.

« sortir du jeu » de l’interaction et retirer son masque pour un moment d’intimité où personne ne veut nous voir (aller aux toilettes par exemple)  dans ces moments de va et viens on peut essayer de voir l’individu ôter ou changer de masque entre deux interactions

selon les points de vue des individus une région postérieure peut devenir une région antérieure et inversement. Exemple avec le lieu de travail  soirée afterwork

les individus qui coopèrent dans une représentation ont une notion de familiarité qui apparait  que lorsqu’il n’y a pas de public exemple avec le langage utilisée en fonction des représentations et du public en face de nous

restrictions liés à la familiarité  chaque individu hors public veut qu’on lui confie des secrets, il en donne l’impression, puis remonter le moral et limitations arbitraires à cause des divisions sociales fondamentales (surtout au niveau de la distinction de sexe)

définition de la région extérieure, troisième type, idée que le sens commun se fait des organisations sociales, mais limite car très étroit et on peut vite changer de représentations

limite car arrivée au mauvais moment d’une représentation peut devenir gênant tant pour l’acteur que pour le public. Solution : séparer chaque rôle pur que chaque public ne le voit pas dans un rôle différent.

Chapitre 4 : les rôles contradictoires

contrôle d’information : le public ne doit pas tout savoir au niveau des infos, info destructive de l’illusion de spectacle, il explique les différents types de secret :

secret inavouable, stratégique (prend exemple de l’armée ou état), initiés (possession marque l’appartenance dans un groupe d’individus)  forme d’exclusion pour les autres groupes cela mène Goffman a deux autres types de secret en lien avec ; confidence (relation avec le groupe)  gros lien entre tous les secrets un secret peut être deux types en même temps

on a trois rôle fondamentaux dans une représentation déterminée : ceux qui la donne, ceux qui en sont à l’extérieur qui ne l’observe pas ni rien et ceux à qui ils la donnent. Personne possède d’information destructive de la représentation. Définition des rôles contradictoires : comme le délateur qui est admis dans les coulisses, dans la région postérieure et découvre les informations destructive pour ensuite aller les révéler secrètement ou pas au public.

après plusieurs exemples types de rôles contradictoires, Goffman finit par le rôle de l’entremetteur : il apprend les secrets des deux parties en promettant de garder leurs secrets mais ils partagent de temps en temps des infos à chaque partie, on peut prendre ici l’exemple de l’arbitre pour illustrer nos propos.

dans tous ces rôles contradictoires on aperçoit une relation inattendue et masquée entre le rôle simulé, l’info disponible et les régions accessibles

il présente les rôles contradictoires qui ne font pas de représentations mais qui détiennent une information : comme le spécialiste, il n’est pas acteur mais à accès aux régions antérieures et postérieures et à l’information destructives.

le rôle aussi du confident qui va avec celui du spécialiste ; prend l’exemple des collègues de travail

Chapitre 5 : la communication étrangère au rôle

théorie comme quoi quand deux équipes se rencontrent ils ont tendance à garder leurs rôles. Ils veulent savoir où est leurs places et veulent la garder sans perturber la représentation. Le but est d’aider l’autre équipe avec comme clé la communication

Goffman aborde le traitement de l’absent  l’absent étant le public en coulisse où l’équipe se moque de lui, discute de techniques pour le rouler (surtout dans le commerce), notre façon de parler change (politesse avec monsieur puis en coulisse on l’appelle par un diminutif)

l’auteur nous parle du discours que l’équipe tient en coulisse pour parler de la mise en scène ; problème de cadrage, inconvénients, ils vont parler du public, de l’endroit.

il nous parle de la complicité dans les équipes : les chuchotements sont mal vu, et quand on nous met dans une confidence d’équipe, on est alors complice d’eux. Cette complicité se manifeste avec des signaux, propre au langage de l’équipe, pour communiquer plus facilement sans que le public comprenne. Ici Goffman, nous illustre ces propos avec l’exemple des régis à la radio ou à la télé. Les équipiers se soutiennent mutuellement avec leur signaux face aux clients, public. Ce sont les indications scéniques

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