EN QUOI LA SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION A MODIFIER LE LIEN QUE L’ON ENTRETIEN AVEC L’OBJET ?
Dissertation : EN QUOI LA SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION A MODIFIER LE LIEN QUE L’ON ENTRETIEN AVEC L’OBJET ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Zarb • 13 Novembre 2015 • Dissertation • 1 202 Mots (5 Pages) • 1 200 Vues
Le premier document est chanson de Boris VIAN intitulée « La Complainte du progrès », écrite en 1956, cette chanson nous montre que le bonheur passe par l’objet. Le second document est un texte de J. BAUDRILLARD dont le titre est « La Société de consommation, ses mythes, ses structures » écrit en 1970, ce texte nous parle du rôle des médias dans le domaine de la consommation ainsi que l’objet dans la société de consommation. Le troisième document est un texte de Paul ARIES et Bernadette COSTA-PRADES qui s’intitule « Apprendre à faire le vide, Pour en finir avec le toujours plus » de 2009, ce texte est une analyse entre notre société contemporaine et les années 1920 via la consommation. Le dernier texte est un entretien de Philippe STARCK avec Elisa FEDELI paru sur le site www.paris-art.com, le 16 juillet 2011, cet entretien nous parle de la place de l’objet et surtout de l’utilisation que l’on en fait. Je commencerais par écrire dans mon première axe sur « L’impact de l’objet sur l’homme » puis « l’épanouissement par l’objet » et ensuite dans mon deuxième axe je parlerais de « l’omniprésence de l’objet dans la société » et pour finir de « la surconsommation de l’objet ».
EN QUOI LA SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION A MODIFIER LE LIEN QUE L’ON ENTRETIEN AVEC L’OBJET ?
- CONDITIONNEMENT DE L’HOMME PAR L’OBJET
L’impact de l’objet sur l’Homme
Dans le document n° 1 nous pouvons constater la dérision que prend l’écrivain Boris VIAN. Il exprime notre société de consommation via l’amour. Ce qui veut nous faire comprendre c’est que l’objet est tellement devenu imposant à notre insu que l’on s’en sert pour des situations ahurissantes. Nos liens, nos sentiments sont clairement dirigés par notre consommation à croire que l’objet devient plus important que l’homme. Toute étape de la vie est devenue une raison essentiel à l’objet. Je dirais que ce texte est l’objet du sentiment.
C’est une chose que l’on peut relire dans le document n° 2, dans le temps nous pouvions vivre sans tous ces objets surtout électronique (technologie contemporaine) que nous utilisons aujourd’hui, c’est-à-dire qu’avant nous utilisions la communication, le relationnel et le manuel dans notre vie quotidienne. Aujourd’hui nous sommes de plus en plus conditionnés par les objets qui nous entourent sans s’en rendre compte, nous connaissons une sorte d’addiction qui nous pousse à la consommation alors que sans ces objets nous pourrions quand même vivre agréablement, nous sommes régler pour toujours en vouloir plus et toujours mieux en croyant nous apporter une meilleure qualité de vie. C’est une chose que nous pouvons revoir dans le document n° 3, qui nous montre comment l’objet à conditionner la femme tout en lui facilitant la vie, avec des objets plus pratique les uns que les autres mais non essentielles.
L’épanouissement par l’objet
L’objet prend le pourvoir sur notre vie relationnel, nous pouvons en faire le constat en lisant la « La Complainte du progrès » de Boris VIAN, le besoin de la femme c’est transformée peu à peu en bonheur matériel transformant la consommation de l’objet par une marque d’affection : le bonheur sentimentale c’est transformé en un bonheur matérialiste. Dans le document 3, nous parlons de l’objet fut un très grand profit financier après la Seconde Guerre Mondiale (1939-1945). Il remplace l’industrie de guerre et deviens l’industrie d’objet pour la femme, il est alors la facilité et la liberté chez elle. Grâce à l’évolution de l’objet les sociétés ont pu se développer de plus en plus, ce qui a permis une facilitation des tâches quotidienne.
- RISQUES LIÉS LA CONSOMMATION
L’omniprésence de l’objet dans notre société
Dans le document n°2 nous constatons que nous voulons toujours plus, toujours mieux, toujours plus beaux, ce n’est plus une option mais le quotidien de l’Homme, nous parlons là : d’obsession par l’objet. La mutation fondamentale dans l’écologie de l’espèce humaine fait que nos vies ne sont plus guidées par notre environnement mais par le cycle de l’objet et de l’évolution de celui-ci. Notre vie personnelle est guidée par l’abondance de l’objet, plus particulièrement l’abondance du virtuel. Le virtuel qui est transmis par l’objet est en perpétuelle évolution, ce qui nous pousse à y être de plus en plus addicte, que ce soit pour gérer notre vie ou notre entreprise. Les publicités on le pouvoir moral en faisant une offre de consommation bien ordonnée afin de nous y pousser à encore plus de consommation, par logique.
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