Soleil Scorta

Premièrement, les Scorta posent des gestes qui sont réprimandables par la justice. D’abord, ils commettent des crimes. Rocco Scorta se rend à l’église pour venir se confesser auprès de Don Giorgio : « Il raconta tout. Chacun de ses crimes. Chacun de ses méfaits. Sans cacher aucun détail. Il avait tué. Il avait pillé. Il avait pris la femme d’autrui. Il avait vécu par le feu et la terreur. Sa vie n’était faite que de cela. De vols et de violence. » (p.47) Dans cette citation, on dépiste un champ lexical sur la violence. Parmi ces mots on retrouve « tué », « pillé », « vols » et « violence ». Le terme « tuer » est défini par enlever la vie d’une personne. Par la suite, « piller » est un terme utilisé pour exprimer le vol et le saccage d’une personne. Par ailleurs, il peut être utilisé pour définir le plagiat. Ensuite, le « vol » est l’acte de prendre et de dérober le bien d’une personne. Pour finir, la « violence » est une force brutale emportée qui démontre un caractère agressif. Ces expressions démontrent grandement que le crime était présent dans leur vie. Deuxièmement, les Scorta sont également reconnus pour faire de la contrebande. Giuseppe va chercher son neveu jusqu’au port pour l’embarquer dans une barque : « Les Scorta faisaient de la contrebande. Depuis toujours. Ils avaient commencé pendant la guerre. Les tickets de rationnement représentaient un sérieux frein au commerce. » (p.147) L’expression « depuis toujours » signifie qu’ils ont tout le temps vécu de cette façon et ça depuis leur existence. Les Scorta ont beaucoup fait de commerce illégal avec le tabac et ils devaient aller le chercher pendant la nuit par bateau. Bref, les Scorta sont des gens qui ne se soucient pas de la justice, car ils font des méfaits et se sont des fraudeurs. Il faut savoir que l’auteur est un grand voyageur et s’inspire beaucoup de ce qu’il voit.

Pour conclure, la famille Scorta est au-dessus de la loi et de la religion parce qu’ils posent des gestes qui ne sont pas acceptés par la société et ils croient avoir plus de pouvoir que la religion. Par ailleurs, Laurent Gaudé utilise la transmission comme thème dans le roman Le Soleil de Scorta. De plus, dans le roman La Mort du roi Tsongor écrit par cet auteur, on identifie le même thème. En outre, il serait intéressant de comparer ce qu’on transmet aux personnages de ces deux livres et de vérifier s’il y a des points communs et des points différents.

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