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Les villes tentaculaires : Emile Verhaeren

Cours : Les villes tentaculaires : Emile Verhaeren. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Février 2018  •  Cours  •  360 Mots (2 Pages)  •  1 738 Vues

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Les villes tentaculaires : Emile Verhaeren

I/ L’évocation d’un environnement industrielle

• Les constructions

- Le mot usine (X3) sonne comme refrain en fin de strophe = rappelle l’univers présent.

- insistance sur formes et matière brutes avec "fenêtre" et (v8) + autre voc industriel avec "canal" et "quais"

-les couleurs = rappelle environnement dégradé "noir" "cheminée"

-canal semble infini = étendu d'usine + "a l'infini" et "immensément" suggèrent extension infinie des banlieues des ZI

• Les sons

- évoqués plusieurs fois ("ronflent") intensifié par "terriblement" + reprise de ce vers avec rajout de CCT "jour et nuit" = bruit interminable et évoqué 3eme fois par "grandes"  monstre

2) une présence humaine

- "banlieue", "faubourgs" = présence autour des usines + "quartiers", "square" etc…  autre vie que usines

• La misère des familles

- misère annoncée dès le début + dans dernière = indissociable + a l'origine des troubles voisinage et alcool.

 Hommes caractérisés par ivresse " gens souls" + animaux ("lapent")

- hommes hébétés et atteins de folie à force de boire

L'échappatoire dans l'alcool

- strophe entière pour lieux consacrés à l'alcool = énumération d'éléments qui font apparaitre la lumière (chps lex)  alcool créé un univers protégé (l'oublie) qui s'oppose à l'obscurité de la ZI

II/ Un espace inquiétant

1) Une atmosphère angoissante

- angoisse car univers vivant avec, personnification des usines "ronflent" "grondent" + douée d'un regard " regardant de leurs yeux noir…".

- monde angoissant car sombre (privé de lumière "brouillard" "nuit" etc.) et infini.

2) Une atmosphère fantastique

- Vue brouillée à cause du brouillard + obscurité avec chps lex de la saleté  pollution avec ville dont on ne peut sortir

- rythme saccadé du poème (manque de fluidité avec alternance de syllabes 8,10,12) = irrégularité du poème  tonalité inquiétante

3) Une dimension épique

- mots exprimant immensité = fréquents  hyperbole

-impression de multiplication des éléments de la ville qui sont au pluriel  amplification + entassement. Effets d'accumulation marqués par reprise anaphorique "ronflent" qui est amplifiée a chaque fois.

Synthèse

Emile

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